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Corpus, Confrontation de la nature a travers la poèsie

Publié le 12/10/2013

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1)Ce corpus, nous présente 3 poèmes issus chacun d'un siècle différent. Le premier texte est un poème écrit en 1550 par Pierre de Ronsard. Il s'intitule « A la forêt de Gastine «. Dans ce poème, nous pouvons voir 6 quatrains avec une alternance d'octosyllabes et d'hexasyllabes. Le second poème, « L'automne « écrit par Alfonse de Lamartine en 1820 est quand à lui est constitué de huit quatrains en Alexandrins. Pour finir, « La sorgue « est un poème écrit par René Char en 1948. Ce poème ne respecte aucune règle de versification. Le poète a donc décidé de constituer son poème en vers libre. A travers ces différents poème nous pouvons alors comparer la représentation de la nature ainsi que celle des sentiments. Dans « A la forêt Gastine « de Pierre de Ronsard, une description de la nature est présente tout au long du poème. Le poète fait une description de la nature sans ne se mettre dans aucune partie péjoratif ni mélioratif. Il décrit le paysage d'une façon juste observatrice. Dans ce poème, nous pouvons aussi observer le champ lexical des sentiments qui quand à lui sont décrits d'une manière joyeuse. Nous pouvons retrouver « chante « au vers 2, « belle « au vers 8, «  Ravi d'esprit « au vers 10, « D'amoureuse « au vers 18. Nous pouvons voir qu'il devait aimer le lieu qu'il décrit. Dans le poème « La sorgue «, le poète décri...

« A l'aide des textes précédemment étudié nous alors comparer la forme ainsi que la structure de ces poème.

Nous pourrons ensuite regarder les différentes évolution de ces poème. Après l'observation des différents poèmes, nous pouvons voir que les poètes n'ont pas organisé de la même façon leur style d'écriture.

Tout d'abord, les règles de versification sont appliquées dans le poème de Lamartine ainsi que dans celui de Ronsard.

Alfonse de Lamartine, dans son poème « L'automne » présente son poème sous huit quatrains en Alexandrins.

Nous pouvons voir qu'il utilise des rimes croisées.

Dans ses différentes rimes ont observe des rimes masculines et féminines.

Elles sont placés l'une après l'autre tout au long du poème en périodicité.

Dans le poème « A la forêt de Gastine », Pierre de Ronsard a écrit sont poème en six quatrains.

Ces six quatrains sont composés d'octosyllabes et d'hexasyllabes en alternance.

Nous pouvons aussi voir des rimes croisées.

Dans ce poème, les octosyllabes ne sont constitué que de rimes masculines et les hexasyllabes de rimes féminines.

Aussi, nous pouvons trouver différents enjambements.

Comme nous l'avons vue précédemment, ils ont pour fonction d'insister sur la nature mais aussi de la valoriser. Dans le poème « La sorgue » de René Char, les règles de versification ne sont pas appliquées.

Le poète a utilisé un poème à vers « libre » car il nous présente neuf strophes mais de façon non organiser.

Nous pouvons voir qu'il n'y a aucune disposition de rimes spécifique, ni de rimes féminine ou masculine contrairement aux deux autres poèmes.

Il n'y a pas non plus d'enjambement.

Par contre, nous pouvons observer une répétition d'un mot au début de chaque vers.

Dans ses 3 différents poèmes, Pierre de Ronsard et Alfonse de Lamartine ont tout deux respectés les règles de versification dans leur poème.

Issus du 16ème siècle pour Ronsard et du 19ème siècle pour Lamartine, les différentes règles pour l'écriture des poèmes sont encore respectées de leur part.

Par contre, Char, issus du 20ème siècle, poète moderne dans le temps, ne respecte plus la versification et constitue son poème de la manière qu'il souhaite sans n'avoir aucune norme a respecté.

Au fil du temps, les différents principes et syntaxes de la poésie ne sont plus vénérés.

Les poètes écrivent les poèmes comme ''bon leur semble'' d'une façon clairement différente.. »

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