corpus muse

Ce corpus est constitué de trois textes, portant tous sur leurs muses, pour exprimer leur éloges. Un premier texte de Pierre de Ronsard, poète amoureux, avec son livre Les Amours, où il dédie cette oeuvre a trois femmes dont Marie avec le poème  Les Amours de Marie, écrit en sonnet que nous allons étudier datant de 1555. Puis deux textes de Guillaume Apollinaire connu pour Alcools, son oeuvre la plus célèbre où nous allons étudier un extrait. Rosemonde écrit en vers libres paru en 1913. Nous étudierons aussi les Poèmes à Lou paru en 1955. Ces textes présentent un thème commun, celui du pouvoir des poètes à évoquer leurs muses, que nous étudierons en interrogeant les différents genres et registres présents dans ces textes.   Il s’agira de montrer ici comment ces différents poètes invoquent leurs muses. Le premier texte Les Amours de Marie est un poème qui raconte son désire amoureux en vers Marie  exprimé avec le registre du poème, lyrique,comme nous le montre la valorisation de l’amour avec le champ lexical de l’amour: “aime”(v-2), “aimez-moi”(v-2), “amour”(v-3), “coeur”(v-5), “aimer”(v-9), “aime”(v-10), “venus”(v-13), “aimerai”(v-14).Le second,Resmonde,  appartient comme le premier à un registre lyrique….. et traite de la rencontre d’une jeune femme,surnommée Rosemonde par le poéte    … … …. Nous savons qu'il s'agit d'un registre lyrique car il exprime des sentiments, ici, l’amour en vers libres. Au vers 5 ses “doigts jetèrent des baisers” montre qu’il est amoureux mais reste caché sûrement car il pense que ce n’est pas réciproque. Ce qui ce confirme au vers suivant “mais le canal étais désert”(v-6) . Le troisième, Poèmes à Lou, qui est l’amoureuse du poète. ce qui renseigne sur le genre poétique de cette oeuvre, lyrique, car cet acrostiche évoque la mort tout en parlant de son amour, avec un champ lexical de la mort, “la nuit” (v-1), “le sang” (v-3).     . En savoir plus sur http://www.intellego.fr/soutien-scolaire-1ere-s/aide-scolaire-francais/exemple-de-presentation-de-la-question-portant-sur-le-corpus./37348#gUIPDEdQ5tMIeoWA.99 Sur le plan des registres à présent, on constate que tous trois utilisent le lyrique, pour invoqué leur muse. En effet, chacun, raconte un désire amoureux par un sentiment caractéristique, un amour charnel, “venus et son fils” (v-13), pour le premier. pour le second, en l’observant, il la suit “j’avais suivie” (v-3) gfyufdhkfgket pour le dernier, avec un a...