De l'eau de Ponge

« Poème « De l’Eau » . Dans ce poème, Ponge tente de définir l’eau .

On voit ses difficultés car il multiplie les adjectifs.

Il utilise les contraires voire des oxymores (« passive et obstinée », « amorphe et féroce ».

Il personnifie l’eau.

Il la féminise, lui attribue aussi des sentiments : elle est « folle », et cette folie est une hystérie car elle s’obstine à rester au sol.

Elle a une personnalité, elle a un caractère elle est « têtue, obstinée »…..

Il utilise aussi un vocabulaire soutenu, comme le mot latin excelsior signifiant « plus haut » et des mots scientifiques (pesanteur, déclivité, cyclisme) pour rendre sa description plus sérieuse, plus crédible.

Mais malgré ses efforts pour décrire l’eau, l’auteur avoue son incapacité à le faire à la fin du poème.

: « Idéologiquement c'est la même chose : elle m'échappe, échappe à toute définition, mais laisse dans mon esprit et sur ce papier des traces, des taches informes ».

L’eau est totalement insaisissable. Œuvre d’art associé au poème En 2005, l’artiste Olafur Eliasson a crée une installation ‘ Notion Motion’.

Né en 1967, Eliasson a grandi en Islande et au Danemark, où il a étudié de 1989 à 1995 à l’Académie royale danoise des beaux-arts.

En 1995, il s’installe à Berlin et fonde le Studio Olafur Eliasson.

Ces.... »