Devoir de Philosophie

Devoir 3 Français

Publié le 12/06/2015

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Modèle de copie Open office Writer Références du devoir Matière : Français Code de la matière : FR10 N° du devoir : 3 (tel qu'il figure dans le fascicule devoirs) Pour les devoirs de langues étrangères, précisez LV1, LV2 ou LV3 : Vos coordonnées Indicatif : 210 - 40 - 0203 - 6 Nom : Moral-Dervaux Prénom : Loréleï Ville de résidence : Massy Pays (si vous ne résidez pas en France) : Double-cliquez dans les zones bleues pour saisir les différentes informations demandées puis commencez à saisir votre devoir en page 2. Nom du professeur correcteur : NOTE : Observations générales du correcteur : 1 Votre texte passera automatiquement à la ligne suivante à ce niveau pour laisser une marge au correcteur Commencez à saisir votre devoir ci-dessous : Devoir 3 Objet d'étude : Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours Question (4 points) Vous répondrez d'abord à la question suivante : Que peut-on dire dans ces trois extraits de la relation entre maîtres et valets ? Vous répondrez à cette question en étant attentif à l'évolution de cette relation dans la comédie, de l'Antiquité au Xxe siècle. Ces trois extraits, écrits chacun à diverses époques, possèdent un même sujet en commun : les relations entre les maîtres, et les valets. Malgré ce point commun existant, le moyen de traiter le sujet est nettement différent en fonction de chacune de ces pièces. Dans celle de Marivaux, par exemple, arrivés sur une île où la situation maîtres et valets s'inverse, le valet Arlequin prendra finalement son indépendance et commencera donc à traiter son maître comme il avait l'habitude de l'être lui-même. En effet, on retrouve une certaine similitude au sein des deux autres extraits, puisqu'on y fait référence aux mauvais traitements que subissait autrefois Arlequin : « j'étais ton esclave ; tu me traitais comme un pauvre animal, et tu disais que cela était juste ». On retrouve au sein du texte de Samuel Beckett, Lucky, tenu en laisse est également traité « comme un pauvre animal », voir bien pire à en juger la réplique de son maître, Pozzo : « Les vieux chiens ont plus de dignité ». Il considère donc Lucky comme inférieur aux chiens. L'extrait de la pièce de Plaute n'échappe pas à la règle, puisque la servante est également traitée et comparée à un animal : « Je n'ai jamais vu plus méchante bête que cette vieille », comparaison faite, par Euclion lui-même. Il est également fait de nombreuses fois référence au faite de « chasser » Staphyla de la maison, comme on pourrait le faire par exemple avec un animal entré sans permission ou dont on souhaite tout simplement se débarrasser. On voit donc que, dans chacun de ces trois extraits, le rapport de soumission absolue des valets par rapport aux maîtres est nettement présent, voir même dégradant. On peut malgré ça discerner une certaine tendresse au sein de ces trois extraits, de la part du valet ou même encore du maître, à l'égard l'un de l'autre. Dans l'extrait de Marivaux par exemple, cette affection est clairement démontrée par le maître envers son valet : « Eh ne sais tu pas que je t'aime ? ». Celle-ci est à nouveau montrée alor...

« Votre texte passera automatiquement à la ligne suivante à ce niveau pour laisser une marge au correcteur Commencez à saisir votre devoir ci-dessous : Devoir 3 Objet d'étude : Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours Question (4 points) Vous répondrez d'abord à la question suivante : Que peut-on dire dans ces trois extraits de la relation entre maîtres et valets ? Vous répondrez à cette question en étant attentif à l'évolution de cette relation dans la comédie, de l'Antiquité au Xxe siècle. Ces trois extraits, écrits chacun à diverses époques, possèdent un même sujet en commun : les relations entre les maîtres, et les valets.

Malgré ce point commun existant, le moyen de traiter le sujet est nettement différent en fonction de chacune de ces pièces. Dans celle de Marivaux, par exemple, arrivés sur une île où la situation maîtres et valets s'inverse, le valet Arlequin prendra finalement son indépendance et commencera donc à traiter son maître comme il avait l'habitude de l'être lui-même.

En effet, on retrouve une certaine similitude au sein des deux autres extraits, puisqu'on y fait référence aux mauvais traitements que subissait autrefois Arlequin : « j'étais ton esclave ; tu me traitais comme un pauvre animal, et tu disais que cela était juste ».

On retrouve au sein du texte de Samuel Beckett, Lucky, tenu en laisse est également traité « comme un pauvre animal », voir bien pire à en juger la réplique de son maître, Pozzo : « Les vieux chiens ont plus de dignité ».

Il considère donc Lucky comme inférieur aux chiens.

L'extrait de la pièce de Plaute n'échappe pas à la règle, puisque la servante est également traitée et comparée à un animal : « Je n'ai jamais vu plus méchante bête que cette vieille », comparaison faite, par Euclion lui-même.

Il est également fait de nombreuses fois référence au faite de « chasser » Staphyla de la maison, comme on pourrait le faire par exemple avec un animal entré sans permission ou dont on souhaite tout simplement se débarrasser.

On voit donc que, dans chacun de ces trois extraits, le rapport de soumission absolue des valets par rapport aux maîtres est nettement présent, voir même dégradant. On peut malgré ça discerner une certaine tendresse au sein de ces trois extraits, de la part du valet ou même encore du maître, à l'égard l'un de l'autre.

Dans l'extrait de Marivaux par exemple, cette affection est clairement démontrée par le maître envers son valet : « Eh ne sais tu pas que je t'aime ? ».

Celle-ci est à nouveau montrée alors qu'Iphicrate cherche à justifier sa colère par son malheur : « Juste ciel ! Peut-on être plus malheureux et plus outragé que je le suis ? ».

Même si cette phrase n'est pas des plus explicite, son malheur se fonde dans le fait qu'Arlequin ai décidé de partir.

On peut également voir cette certaine affection dans le texte de Plaute, Staphyla, alors que la servante éprouve le désir d'aider sa jeune maîtresse, et ce malgré les difficultés qu'elle a avec son maître : « Comment cacher le déshonneur de ma jeune maîtresse ? ».

Ces mots bien que visiblement banals dissimulent un véritable soucis, mais pas seulement, on peut y voir aussi une affection particulière que la servante peut avoir pour sa maîtresse.

C'est tout le contraire en revanche dans l'extrait de "En attendant Godot", on y retrouve aucune trace affection entre Pozzo et Lucky, mais plutôt une pitié méprisante venant de Pozzo, que l'on discerne aisément lorsqu'il dit : « Essuyez-lui les yeux.

Comme ça, il se sentira moins abandonné.

».

Il rejette l'idée de tout geste affectif, préférant reléguer la tâche à d'autres. On peut également assister à la rébellion du valet au sein de deux de ces extraits, dans la scène 1 de l'Acte I de La Marmite par exemple, bien que légère la rébellion existe néanmoins à travers cette réplique : « Mieux vaudrait que les Dieux m'eussent fait pendre, que de me donner un maître tel que toi.

».

Staphyla exprime ici la haine qu'elle a envers son maître, chamboulant par la même occasion le rapport de domination exercé par le maître puisqu'elle se place sur un pied d'égalité avec Euclion, en se servant du tutoiement.

C'est également dans L'île des esclaves que Marivaux fait apparaître très clairement la rébellion du valet face à son maître, notamment avec la tirade d'Arlequin : « Je l'ai été, je le confesse à ta honte, mais va, je te le pardonne ; les hommes ne valent rien.

Dans le pays d'Athènes, j'étais ton esclave ; tu me traitais comme un pauvre animal, et tu disais que cela était juste, parce que tu étais le plus fort.

Eh bien ! Iphicrate, tu vas trouver ici plus fort que toi ; on va te faire esclave à ton tour ; on te dira aussi que cela est juste, et nous verrons ce que tu penseras de cette justice là ; tu m'en diras ton sentiments, je t'attends là.

Quand tu auras souffert, tu seras plus raisonnable ; tu sauras mieux ce qu'il est permis de faire souffrir aux autres.

Tout en irait mieux dans le monde, si ceux qui te ressemblent recevaient les mêmes leçons que toi.

Adieu mon ami ; je vais trouver mes camarades et tes maîtres.

».

On peut voir ici que le valet se détache littéralement de son maître, le laissant simplement derrière lui tout en le considérant tel son égal.

Contrairement aux deux autres extraits, la rébellion reste inexistante au sein de En attendant Godot, Lucky restant plus effrayé qu'autre chose par le traitement qu'il pourrait recevoir de son maître considéré comme un véritable tyran. On peut ainsi constater que les relations entre maître et valet restent inchangées à travers les époques, puisqu'on retrouve finalement toujours le même schéma.

Une soumission absolue venant du valet, et une domination tantôt tendre, tantôt tyrannique venant du maître.

Le valet restera toujours dans cette optique d'injustice, mais mais ne réagira pas toujours face à celle-ci. Travail d'écriture (16 points) L'île des esclaves est une pièce de théâtre écrite en 1725 par Marivaux, et mettant en scène deux personnages : Iphicrate, ainsi que son valet Arlequin.

Juste après avoir quitté Athènes, ils échouent tout deux sur une île où les habitants ont échangés les rôles suite à une rébellion des esclaves, les maîtres devenant les valets, et les valets eux prenant la place des maîtres.

Dans l'extrait que nous allons étudier, à savoir la fin de la scène 1 ainsi que le début de la scène 2 de l'acte premier, Arlequin cherche a récupérer sa liberté.

Grâce à ce commentaire, nous observerons comment les liens de domination préétablis par la société peuvent être subitement renversés.

Nous étudierons d'abord la réaction des personnages face à la situation, puis nous verrons quelle relation unit le maître au valet avant de voir comment le personnage de Trivelin peut influencer les autres. Les deux personnages qui partagent pourtant un passé commun, ont chacun une perception très différente des événements.

Ils viennent d'échouer sur une île inconnue, où les rôles sont préalablement inversés, l'un en est véritablement enchanté, alors que l'autre au contraire est apeuré.

Iphicrate lui demeure inquiet, sachant pertinemment que son statut de maître est en danger.

Il va donc chercher à amadouer son valet, lui accordant de nombreux compliments et marques d'affection.

Malgré ça son stratagème va rapidement être stoppé par Arlequin, qui va vite lui rappeler de façon plutôt ironique les mauvais traitement qu'on a pu lui infliger, l.1 et 2 : « vos compliments me charment ; vous avez coutume de m'en faire à coups de gourdin qui ne valent pas ceux-là ».

Les didascalies présentes nous montrent progressivement la réaction des deux personnages, effectivement on voit qu'Iphicrate est d'abord « un peu ému » l.7 puis « au désespoir » l.24 tandis qu'Arlequin lui reste « indifférent » l.8 puis « riant » l.11.

Cette prise de conscience progressive de la situation va également amener une réaction progressive des personnages, qu'on peut voir dans la ponctuation l.7,8 et 9 : « Oh ! Cela se peut bien, chacun a ses affaires : que je ne vous dérange pas ! - Esclave insolent ! », les point d'exclamation dévoilant les réactions vives des personnages ; est aussi visible dans leurs paroles l.5 : « Ainsi, tenez, pour ce qui est de nos gens, que le ciel les bénisse ! S'ils sont morts, en voilà pour longtemps ; s'ils sont en vie, cela se passera, et je m'en goberge.

» On voit qu'Arlequin, au contraire de son maître, ne s'inquiète pas de la situation l.

7 : « Mais j'ai besoin d'eux, moi.

».

On remarque avec cette réplique qu'Iphicrate est bel et bien conscient de la situation difficile dans laquelle il se trouve, il en est apeuré et souhaite donc rapidement repartir ; et ce, on peut le dire, à juste titre, puisque son valet va peu à peu se rebeller l.8 : « Oh ! Cela se peut bien, chacun a ses affaires : que je ne vous dérange pas ! » et l.11 : « Ah ! Ah ! Vous parlez la langue d'Athènes ; mauvais jargon que je n'entends plus ».

On peut comprendre au travers de cette réplique qu'Arlequin tourne de manière définitive la page sur son passé d'esclave.

La réplique d'Iphicrate « Méconnais-tu ton maître, et n'es tu plus mon esclave ? » montre toute l'inquiétude du personnage, inquiétude visiblement justifiée au vue de la tirade suivante. La tirade d'Arlequin nous dévoile ici les pensées du valet par rapport à lui-même, à son maître, mais également au reste du monde.

La première didascalie, l.14 « se reculant d'un air sérieux » est en contradiction avec l'air léger qu'il possédé d'abord en « riant ».

En plus de ça, on voit qu'il s'éloigne physiquement de son maître juste avant de parler, marquant une distance qu'il va aussi imposer à travers ses paroles.

On voit d'abord dans cette tirade qu'il va brusquement se mettre à tutoyer son maître, renversant alors l'opposé domination et soumission.

Cela marque comme une coupure, au sein de la relation maître/valet, puisque jusque là le soit disant rapport de supériorité envers le maître avait été respectée malgré l'insolence du valet.

Arlequin va également insister à de nombreuses reprises sur le fait que cette relation est désormais révolue, l.14 : « Je l'ai été […] j'étais ton esclave ».

Il rejette son maître avec une certaine force, créant une divergence entre « Athènes », où il était encore lui-même esclave, et « ici », sur cette île où Iphicrate va maintenant le devenir.

Le valet va également faire preuve d'indulgence l.14,15 : « mais va, je te le pardonne ; les hommes ne valent rien.

».

Arlequin cherche à montrer qu'il se maîtrise, il est capable de lui pardonner car selon ses dires les Hommes ne valent rien ; on suppose donc qu'il se place au-dessus des Hommes et donc au-dessus de la réaction rancunière dont un Homme pourrait faire preuve.

La réplique « les hommes ne valent rien » prouve bien ici l'image péjorative dont le valet se fait de la société, image qu'il transmet à nouveau lorsqu'il dit, l.21 : « Tout en irait mieux dans le monde, si ceux qui te ressemblent recevaient la même leçon que toi ».

Le but premier d'Arlequin n'est pas uniquement celui de faire souffrir son maître, mais aussi celui de lui faire voir et possiblement comprendre ses erreurs.

Malgré tout, la répétition des mots « justice » et « juste » nous démontrent que cela consiste aussi en une vengeance personnelle qui fait littéralement jubiler le valet : « Eh bien ! Iphicrate, tu vas trouver ici plus fort que toi ; on va te faire esclave à ton tour ; on te dira aussi que cela est juste, et nous verrons ce que tu penseras de cette justice-là ; tu m'en diras ton sentiment, je t'attends là.

Quand tu auras souffert, tu seras plus raisonnable ; tu sauras mieux ce qui est permis de faire souffrir aux autres ».

Ses phrases sont clairement ponctuées d'un net ressentiment, nous faisant même douter de la sincérité de son pardon ; même si la ponctuation en question reste assez neutre tout au long de son discours.

Il finit sa tirade par « Adieu, mon ami ; je vais trouver mes camarades et tes maîtres.

» qui démontre l'insistance émise sur le nouveau statut d'esclave d'Iphicrate.

Après ça, Arlequin « s'éloigne » simplement tandis qu'Iphicrate est lui « au désespoir, courant après lui » ; on peut voir ici le paradoxe de la situation : l'esclave s'en va alors que le maître lui court après.

C'est désormais l'esclave qui est indépendant, et le maître qui a besoin de ce dernier et non plus le cas inverse.

Cependant hors de lui, Iphicrate tente de rétablir leur ancienne relation par l'épée, prêt à tuer son valet pour l'outrage occasionné.

C'est cette réaction en particulier qui montre le contraste présent entre les personnages.

En effet, Arlequin lui reste calme et se maîtrise tandis qu'Iphicrate lui laisse place à son impulsivité.

La toute dernière phrase de la scène établie de manière définitive la nouvelle relation maître valet l.26 : « Doucement ; tes forces sont bien diminuées, car je ne t'obéis plus, prends-y garde.

».

Arlequin souhaite par là faire comprendre à Iphicrate que pour s'affirmer en temps que maître, il faudrait qu'au moins une personne reconnaisse son autorité, et comme ce n'est à présent plus le cas, ce dernier ne peut plus être désigné comme tel. Ainsi, dans l'extrait de la première scène, Arlequin a visiblement réussi à s'affirmer comme un être indépendant.

Et pourtant, l'arrivée d'un tout nouveau personnage dans la seconde scène va encore plus approuver cet affranchissement.

L'arrivée de ce tout nouveau personnage va également, influencer les personnages.

On nous indiquent d'abord que Trivelin va commencer par faire désarmer Iphicrate, avant d'offrir l'épée à Arlequin : l'épée a ici la fonction d'une métaphore, l'épée représente le pouvoir, la domination qu'il prend des mains au premier pour la mettre dans celles du deuxième.

En apprenant qu'Arlequin n'a pas réellement de nom, il va même lui proposer d'échanger son identité avec celle de son maître : « Eh bien ! Changez de nom à présent ; soyez le seigneur Iphicrate à votre tour ; et vous Iphicrate, appelez-vous Arlequin, ou bien Hé.

» or, on sait qu'à cette époque l'identité est la seule chose qui détermine le rang de chacun.

Ces changements faits par Trivelin amusent grandement Arlequin, qui retrouve à nouveau l'humeur joyeuse qu'il abordait au tout début de l'extrait de la scène 1, comme indiqué ici « sautant de joie ».

La légèreté présente dans la scène instaure une atmosphère davantage propice à un registre comique, contrairement à la scène 1 où le ton y était nettement plus grave.

Ainsi, le côté comique prend place plusieurs fois au travers des répliques d'Arlequin, notamment l.45 : « Oh diantre ! Il s'appelle par un nom lui ». Le personnage de Trivelin a également une influence sur Iphicrate, qui va au contraire de la scène précédente s'effacer dès l'entrée en scène de Trivelin, n'ayant le droit qu'à seulement deux courtes répliques dans cette dernière partie, l.31 : « Punir l'insolence de mon esclave » et l.52 : « Maraud ! », cette dernière soulevant le sentiment de trahison vécu par Iphicrate.

Iphicrate avait une chance de retrouver son statut face à Arlequin, mais avecTrivelin à ses côtés, et à tous ces insulaires, cette chance s'envole et le statut du maître avec elle.

C'est ainsi que le personnage de Trivelin apparaissant dans cette nouvelle scène, possède non seulement une influence sur le comportement des deux autres personnages, mais également sur la pièce en elle même puisqu'il change l’atmosphère dans un registre comique. On a donc pu voir ici que les liens unissant un maître à son valet peuvent être altérés par plusieurs choses : une situation en la faveur du valet, premièrement, mais également le type relation qu'ils entretiennent et finalement l'influence d'autres personnages.

Ces trois facteurs sont présents dans la pièce, ce qui permet au valet d'affirmer son indépendance envers son maître.

On ne peut alors s'empêcher de se questionner sur les deux autres pièces, et si une telle situation pourrait également mener à l'affranchissement des autres valets présents dans La Marmite et En attendant Godot. 2. »

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