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En vous appuyant sur le corpus proposé, sur les oeuvres théâtrales étudiées en classe, sur vos lectures personnelles et votre expérience de spectateur, vous montrerez que toute pièce de théâtre utilise des procédés conventionnels acceptés par le spectateur.

Publié le 05/01/2013

Extrait du document

le théâtre de l’absurde où il nous est impossible de repérer une cohérence dans l’intrigue et une logique

dans les propos tenus sur scène. Rhinocéros de Ionesco peut prendre place d’exemple où une majorité

de personnage ne parle plus à proprement parlé puisqu’ils se transforment en rhinocéros. Cependant,

dans cette pièce, les didascalies sont très importantes. De surcroît, nous voyons apparaître une

dramaturgie nouvelle, fondée sur la mise en évidence des conventions traditionnelles et leur dérision.

Encore une fois, cette dramaturgie nouvelle est représentée par le théâtre de l’absurde. Le théâtre n’a

donc plus le rôle de reprendre la réalité à l’inverse du théâtre conventionnelle qui devait respecter la règle

de vraisemblance par exemple. Cela peut s’expliquer par l’ouverture du théâtre occidental aux théâtres

orientaux (tels que chinois ou indien). Ces derniers sont en effet un théâtre où les gestes et les

mouvements prennent un place plus importance que le langage en lui-même. Ces théâtres utilisent donc

le chant, la musique et la danse pour représenter une pièce de théâtre, d’où la notion de théâtre complet

dit précédemment.

« comédien, le second étant celui qui pose les bases du drame bourgeois du théâtre.

Ainsi, pour Molière, le jeu et la réalité doivent se confondre.

L’acteur doit alors s’identifier au personnage, de même que le spectateur.

L’acteur doit entrer dans le caractère de son rôle de façon à que nous ne pouvons pas discerner qui est l’un et l’autre.

Alors que pour Diderot, c’est tout l’inverse.

Il veut que les acteurs imitent le personnage tout simplement, sans ressentir vraiment ses émotions.

Il est également utile de mentionner le rituel du lever et du baisser du rideau comme étant des conventions qui expriment le début ou la fin d’un acte, conventions qui sont présentes dans la plupart des représentations de théâtre.

Le théâtre contemporain reflète plus le théâtre de nos jours où les acteurs sont plus ou moins libres. Mais il faut dire que le théâtre contemporain tente de mettre en scène un théâtre plus complet (avec musique ou autre) et où les symboles doivent être interprétés par le spectateur.

Nous verrons donc la remise en cause du théâtre conventionnel et la nouvelle théâtralité. Ainsi, nous pouvons préciser que le langage devient le drame lui -même.

En effet, il est dit que l’homme ne peut se reconnaître que dans le langage.

Le langage devient alors, comme les comédiens, un des éléments le plus important dans une pièce de théâtre.

Les gestes des comédiens expriment très peu les sentiments, les ressentis tandis que le langage le fait.

Nous pouvons en conclure ici que les didascalies deviennent moins importante si ce n’est que pour donner des indications sur le décor.

Des auteurs du XXe siècle tels que Ionesco, Beckett utilise le langage pour détruire le personnage, supprimant la possibilité de communication entre eux.

C’est là que nous voyons apparaître le théâtre de l’absurde où il nous est impossible de repérer une cohérence dans l’intrigue et une logique dans les propos tenus sur scène.

Rhinocéros de Ionesco peut prendre place d’exemple où une majorité de personnage ne parle plus à proprement parlé puisqu’ils se transforment en rhinocéros.

Cependant, dans cette pièce, les didascalies sont très importantes.

De surcroît, nous voyons apparaître une dramaturgie nouvelle, fondée sur la mise en évidence des conventions traditionnelles et leur dérision. Encore une fois, cette dramaturgie nouvelle est représentée par le théâtre de l’absurde.

Le théâtre n’a donc plus le rôle de reprendre la réalité à l’inverse du théâtre conventionnelle qui devait respecter la règle de vraisemblance par exemple.

Cela peut s’expliquer par l’ouverture du théâtre occidental aux théâtres orientaux (tels que chinois ou indien).

Ces derniers sont en effet un théâtre où les gestes et les mouvements prennent un place plus importance que le langage en lui -même.

Ces théâtres utilisent donc le chant, la musique et la danse pour représenter une pièce de théâtre, d’où la notion de théâtre complet dit précédemment.

A présent, nous complèterons en discutant du refus de l’illusion réaliste qui devient le sujet de la pièce.

Victor Hugo écrivait que « Le théâtre, c’est être réel dans l’irréel ».

L’illusion réaliste est alors constituée d’éléments réels qui sont encrés dans l’irréel.

Nous pouvons nous demander si une scène est réelle ou si elle créait seulement une simple illusion.

Pour faire plus simple, le théâtre est considéré comme étant une retranscription du réel mais qui est en fait qu’une simple imagination, qu’une illusion réaliste. Le spectateur en entrant dans la salle s’attend à se voir lui -même, il veut pouvoir s’identifier aux comédiens.

Or, dans le théâtre contemporain, il n’est pas nécessaire de mettre en place cette illusion réaliste car les spectateurs ne cherchent qu’à se divertir.

Plus la pièce s’éloigne de sa réalité et plus il apprécie la représentation théâtral.

De plus, puisque nous introduisons de plus en plus d’éléments irréels dans les pièces de théâtre, le sujet ne se base plus sur une réflexion des évènements passés, présents ou futurs, mais se rapporte à cette irréalité en elle-même.

Nous pouvons donc citer les pièces de théâtre parlant de mythe ou de légende comme Antigone de Jean Anouilh (XXe siècle) où l’on parle du mythe d’Antigone.

Toutefois, le théâtre contemporain manifeste la permanence des conventions. Pour conclure, le théâtre adopte de nombreuses conventions instaurées au fil des siècles.

De nos. »

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