Devoir de Philosophie

Etude de "A New York" Ethiopiques

Publié le 13/02/2013

Extrait du document

new york
519430-51879500-28575762000100000 centerbottom1000000 Etude de poème : « A New york « Extrait du recueil Ethiopiques de Léopold Sédar Senghor. Membres du groupe : Aboubacry Bâ Elhadji Abdoulaye Fall Année scolaire : 2012/2013 Mbassa Ndoye Classe : Terminale S1 Professeur : Mr Diagne ETUDE DU POEME « A NEW YORK « En forgeant ce néologisme Ethiopiques, pour en faire le titre du recueil de poèmes de sa maturité, publié en 1956, Léopold Sédar Senghor (né en 1906) mettait en oeuvre le métissage culturel dont il a si souvent fait l'apologie. Lors d'un séjour à New York effectuant une mission pour l'ONU, le poète président découvre la ville de New York. Ce séjour lui a inspiré ce poème triptyque. « À New York « exalte la négritude de la grande ville américaine : « J'ai vu dans Harlem bourdonnant de bruits de couleurs solennelles et d'odeurs flamboyantes". Poème à trois chant, destiné à un « orchestre de jazz : solo de trompette « A NEW YORK est un toponyme qui nous invite à un monde enivrant, plein de couleurs, de circulations intenses : une ville très moderne. Mais tout le poème repose sur l'opposition de deux mondes : un monde réel concret et un autre, plus idéal, abstrait. Dans ce poème, Léopold Sédar Senghor suggère un accompagnement musical pour évoquer New York. Dès lors, l'auteur exprime sa fascination pour cette ville ; ville dans laquelle il voit une nature à deux facettes : la beauté de la ville apparente d'une part et l'absence des valeurs essentielles d'autre part. Thèmes Références LA BEAUTE DE LA NATURE Description du décor (fascination) Vie nocturne Le temps « Les gratte-ciels qui défient les cyclones «, « parmi l'éclipse du soleil «, « lumière «, «ciel «, « pâturage «, « vie «, « l'air «, « nuits «, « jour «, « feux-follets «, « couleurs «, « fête «, « les trottoirs chauves de Manhattan «, « danseurs «, « rue «, « nénuphar «, « chevaux «, « fleurs «, « arc-en-ciel&nbs...
new york

« ETUDE DU POEME « A NEW YORK » En forgeant ce néologisme Ethiopiques, pour en faire le titre du recueil de poèmes de sa maturité, publié en 1956, Léopold Sédar Senghor (né en 1906) mettait en œuvre le métissage culturel dont il a si souvent fait l'apologie.

Lors d'un séjour à New York effectuant une mission pour l'ONU, le poète président découvre la ville de New York.

Ce séjour lui a inspiré ce poème triptyque.

« À New York » exalte la négritude de la grande ville américaine : « J'ai vu dans Harlem bourdonnant de bruits de couleurs solennelles et d'odeurs flamboyantes". Poème à trois chant, destiné à un « orchestre de jazz : solo de trompette » A NEW YORK est un toponyme qui nous invite à un monde enivrant, plein de couleurs, de circulations intenses : une ville très moderne.

Mais tout le poème repose sur l’opposition de deux mondes : un monde réel concret et un autre, plus idéal, abstrait. Dans ce poème, Léopold Sédar Senghor suggère un accompagnement musical pour évoquer New York.

Dès lors, l’auteur exprime sa fascination pour cette ville ; ville dans laquelle il voit une nature à deux facettes : la beauté de la ville apparente d’une part et l’absence des valeurs essentielles d’autre part.

Thèmes R éférences LA BEAUTE DE LA NATURE · Description du d écor   (fascination) · Vie nocturne · Le temps «   Les gratte­ciels qui d éfient les cyclones   »,  «   parmi l’ éclipse du soleil   », «   lumi ère   »,   «ciel   », «   p âturage   », «   vie   », «   l’air   », «   nuits   », «   jour   », «   feux­follets   »,  «   couleurs   »,   «   f ête   », «   les trottoirs chauves de Manhattan   »,  «   danseurs   », «   rue   »,  «   n énuphar   »,   «   chevaux   », «   fleurs   », «   arc­en­ciel   », «   Avril   », «   terre   », «   Six jours   », «   amour   »,   «   nuit agit ée   », «   Filles d’or aux jambes longues   » MODERNITE ET PERTE DES   VALEURS · D éfiguration de la nature · Inhospitalit é et manque   d’humanisme · Modernisme individuel · R éaffirmation de   l’africanit é «   Cœurs artificiel pay és à monnaies fortes   », «   Les yeux de m étal bleu   », «   pas un livre   o ù lire la sagesse   », «   gratte­ciel   », «   ponts   », «   tes larmes tomber   », «   cadavres   d’enfants   », «   pas un rire d’enfant   », «   trottoirs chauves de Manhattan   », «   pas un sein   maternel   », «   peau patin ée de pierre   », «   sans sueur ni odeur   ». »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles