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exposé sur le classicisme

Publié le 21/05/2014

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Le classicisme Epoque : Le classicisme s'est développé dans la seconde moitié du 17ème siècle, plus précisément entre 1661 et 1685. Le triomphe du classicisme est lié au règne de Le Roi Louis XIV, il aime ce qui est grand et majestueux. Le souverain épris de gloire a compris que la postérité (les descendants) l'admirerait d'avoir été le producteur lucide et libéral des lettres et des arts. Les années glorieuses du règne du Roi Louis XIV correspondent au plein épanouissement de la littérature classique. Genre littéraire Le classicisme s'est illustré à travers le théâtre : unité d'action, de lieu et de temps. En réaction au mouvement baroque considéré comme irrégulier, le classicisme s'impose dans le sens de la discipline, de l'ordre et la régu...

« Les genres ne se mélangent plus.

La tragédie revient aux personnages nobles et éloigne tout réalisme, en accordant beaucoup d’importance à la vraisemblance et à la cohérence psychologique. Le classicisme est un art pratiqué par « les honnêtes gens », d’où une préoccupation morale et une volonté de peindre l’humanité. 3) Citation illustrant le mouvement littéraire.

Stendhal : « imiter aujourd’hui Sophocle et Euripide, et prétendre que les imitations ne feront pas bailler le français au XIX siècle, c’est du classicisme ». (Les imitations ne feront pas dormir le spectateur) La Fontaine : « le secret de plaire ne consiste pas toujours en l’ajustement; ni même en la régularité.

Il faut du piquant et de l’agréable si l’on veut toucher.

Combien voyons-nous de ces beautés régulières qui ne touchent point, et dont personne n’est amoureux ». (Le secret de plaire n’est pas toujours dans le calcul ni dans le contrôlable, il n’est pas forcément préparé.

Il évoque la beauté parfaite et froide qui ne touche pas, et dont personne n’est amoureux.) Sainte-Beuve : « La littérature classique ne se plaint pas, ne gémit pas, ne s’ennuie pas.

Quelques fois on va plus loin avec la douleur et par la douleur, mais la beauté est plus tranquille » (Avec la littérature classique on ne s’ennuie pas.

L’émotion de la douleur peu se trouver accentuée contrairement à celle de la beauté).

Le classique cherche à maîtriser l’émotion et ne l’épuise pas dans le langage.

(Émotion calculée et inépuisable) Maurice Blanchot :. »

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