Fiche de synthèse analyse de la courbe de tes yeux de ponge

« et octosyllabes ◦ Quintil vient du moyen-âge ◦ Pas de rimes, donc non conventionnel • Vers, formes structurelles ◦ Alexandrins coupés à l'hémistiche, rythmes harmonieux ◦ Phrases non conventionnelle, strophe 1 = 1phrase, strophe 2 + 3 = 1 phrase ◦ v2 à 6 juxtaposition de groupes nominaux, le poète se laisse entraîner d'une idée à l'autre c) Succession d'images et tradition relationnelle et logique • Figures de style ◦ « Auréole du temps » → métaphore ◦ Oxymore : « couvrant de lumière » , logique défiée II_ La conception de la femme et de l'amour a) La femme : un refuge • Évocation de la courbure des yeux ◦ Champ lexical de la courbe et du cercle → forme ronde et rassurante ◦ Forme ronde comme une figure protectrice et maternelle « berceau » ◦ Un mouvement constant de balancement et de bercement • Poème lui-même un cercle ◦ Vers 1 et 15 se font écho avec un chiasme ◦ Lexique des sensations • Acceptation de la dépendance ◦ Amour refuge doublé d'une dépendance ◦ Sang, symbole de vie et de mort.

La vie du poète dépend de ces yeux b) Le pouvoir de l'amour • Amour transfigure la vision du monde ◦ Ouverture sur le monde par la femme : « astre, ciel, mer, jour » ◦ Amour et mouvement → Yeux vivants, mobiles • Éluard a accès grâce à l'amour à toute les réalités imperceptible ◦ Synesthésie ◦ Oxymore : « couvrir de lumière » → Inverse la logique • Amour, espoir d'un monde meilleur ◦ Yeux → évocation optimistes ◦ Thème de la naissance et du devenir possible • Lumière et transparence ◦ Existence embellie par l'existence de cette femme : champ lexical de la lumière ◦ Le monde se couvre de lumière par Gala ◦ Amour, dieu bienfaisant veillant sur le monde ◦ Pureté qui s'étend au monde entier Conclusion : • Poème qui reprend le principe des images, des associations chères aux surréalistes • Conception du monde qui dépasse la logique comme l'a fait Breton et Desnos • Poème libérée des contraintes sans être anarchique • Une grande unité thématique • Il célèbre la femme mais laisse un grand espace au rêve et à l'interprétation du lecteur • Éluard préfère suggérer plutôt que de dénoncer • Ouverture avec Dali. »