Khôlle de Français : Analyse de texte : Au
Publié le 01/05/2018
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Khôlle de Français : Analyse de texte : Au cœur des ténèbres est une nouvelle/roman qui a été écrite par Joseph Conrad en 1899, nourrie de son expérience personnelle mais qui est transformée. Il raconte le voyage de Charles Marlow qui est un jeu officier de la marine marchande britannique, qui remonte un fleuve au Congo en Afrique et s’enfonce dans la jungle à la recherche de Kurtz qui est un collecteur d’ivoire, mais dont on est sans nouvelle. Thèse : L’auteur à travers le récit, disserte sur le véritable sentiment d’aventure, celui qui transcende la nature humaine. Dans cette nouvelle, nous savons que Marlow était à la recherche de Kurtz. Jusque-là page 160 du livre où il expliqua qu’il restait humble devant la « peut-être mort de Kurtz » pour lui prouver sa loyauté : (l.1 à l.4) « Cependant comme vous voyez je n’allai pas sur-le-champ rejoindre Kurtz. Non. Je restai à rêver jusqu’au bout le cauchemar, et à montrer encore une fois ma loyauté envers Kurtz. ». De plus, il évoque que la vie est tracée de manière futile grâce au destin, qu’elle a un objectif dès le départ : (l.5/6) « La destinée. Ma destinée ! C’est une drôle de chose que la vie – ce mystérieux arrangement d’une logique sans merci pour un dessein futile. », puis Conrad énonce le faite de savoir prendre du recul dans la vie, afin de s’apercevoir des regrets et des erreurs rencontrés lors de cette aventure où il n’a pas sentis son existence : (l.7/8) « Le plus qu’on puisse en espérer, c’est quelque connaissance de soi-même – qui vient trop ...
«
qu'il a vécu au travers de cette expérience : (l.8) « J'ai lutté contre la mort » et décrit au travers
des lignes 9 à 14 ce qu'il a ressenti.
Il veut rester loyal devant Kurtz en restant inerte et discret face à l'homme
remarquable : (l.18/19) « J'étais à deux doigts de la dernière occasion de me prononcer, et je
découvris, déconfit, que probablement je n'aurais rien à dire. ».
Marlow fut ébahit par Kurtz : (l.20)
« C'est pour cela que j'atteste que Kurtz fut un homme remarquable.
Il avait quelque chose à dire.
Il le
dit. » car il a vécu une aventure où la mort était présente, la véritable aventure, celle qui remet en
cause notre existence et nous fait sentir totalement vivant.
Ensuite, Marlow comprend le regard sur la vie de
Kurtz qui est perçant et beaucoup plus loin que l'aventure que lui a vécu : (l.23/24) « Depuis que j'avais
moi-même risqué un oeil par-dessus le bord, j'ai mieux compris le sens de ce regard fixe » et il reprit plus
tard dans le texte à la ligne 39/40 « C'est vrai, il avait franchi ce dernier pas, il était par-dessus le bord »
en parlant de la mort spécifiquement qui signifie que Kurtz a vécu véritablement la vraie aventure, Marlow
ne pas vit pas dans l'insécurité autant que lui, il admire Kurtz et c'est un exemple pour lui, par exemple
quand il dit « Et peut-être la seule différence est-elle là ; peut-être toute la sagesse, et toute la
vérité, et toute la sincérité sont-elles strictement comprimées dans ce moment inappréciable de
temps dans lequel nous sautons le pas par-dessus le seuil de l'invisible », après, il nous montre clairement
qu'il voit au travers de lui, que c'est une figure pour lui, comme « mieux valait son cri, bien mieux » et
même si Kurtz n'a eu que de défaite alors que dans les récits de héros ils règnent tout le temps et
gagnent tout le temps, ici c'est le contraire, cela reste une victoire morale importante « une victoire morale
payée d'innombrables défaites, de terreurs abominables, d'abominables satisfaction.
Mais c'était une
victoire ! » Marlow explique dernièrement qu'il entretient une fascination aveugle pour Kurtz ce qui
l'empêche d'ailleurs de montrer sa propre nature pour ne pas entacher son image à lui, par exemple quand il
dit « je suis resté fidèle à Kurtz jusqu'au bout et même au-delà, quand longtemps après j'ai entendu
une fois de plus sa voix à lui mais l'écho de sa magnifique éloquence jeté vers moi à partir d'une âme
de cristal. » il n'a de yeux que pour lui.
Développement.
»
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