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La Critique du Livre « La Mort à Venise »

Publié le 09/12/2012

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Nom : XU Prénom : Mengyi Université d'origine : Université nomale du Sichuan, la Chine Numéro du sujet : 4, Sur Venise. La Critique du Livre « La Mort à Venise « Dans ce semestre, j'ai lu le livre qui s'appelle « La Mort à Venise « de Thomas Mann. C'est une oeuvre allemande. Pourquoi j'ai choisi ce livre ? D'abord, c'est parce que Thomas Mann est un écrivain qui avait déjà acquis du prix Nobel de littérature en 1929. En plus, son oeuvre « La Mort à Venise « n'est pas très longue. Comme mon français n'est pas très bien, il est moins difficile pour moi à lire. Enfin, j'aime bien la ville Venise. Je pense que c'est une ville très mystérieuse. Après ayant lu ce livre, je suis émue de l'amour et de la passion d'Achenbach. Je suis attirée par ce merveilleux voyage. Dans cet article, d'abord, je vais vous présenter quelques mots de Thomas Mann et de la ville Venise. Ensuite, j'analyserai le portrait d'Aschenbach dans le roman poétique. Enfin, je vais faire une critique de ce livre, surtout de la déscription de Tadzio, un très beau adolescent polonais. Thomas Mann, né le 6 juin 1875 à Lübeck et décédé le 12 août 1955 à Zurich, est un écrivain allemand, lauréat du prix Nobel de littérature en 1929. Il est l'une des figures les plus éminentes de la littérature européenne de la première moitié du XXe siècle et est considéré comme un grand écrivain moderne de la décadence Ses oeuvres principaux sont de «Die Buddenbrock « en 1901 ; «Tonio Kruger « en 1903 ; « Sur la République allemande « en 1922 et «La Montagne magique « en 1924 . Pour le livre « La Mort à Venise«, il a été influencé de Johan Wolfgang von Goethe et du voyage de Thomas Mann à Venise en 1911. Pour le héros, Aschenbach, l'auteur a écrit un portrait dans le livre : « Aschenbach donc était né à L., chef-lieu d'un district de Silésie où son père occupait un haut emploi dans la magistrature. « (ch.1 p.42) Et il était un homme très studieux. « Il formait aussi le voeu ardent de vivre longtemps, car il avait toujours été convaincu que celui-là seul est un artiste, grand, total et vénérable vrailent, à qui il est donné d'exercer sa puissance créatrice et de représenter l'homme à tous les âges de la vie«. (ch.1 p.44) . Pour le portrait d'Aschenbach, il y a aussi une longue déscription dans le livre : « Gustav d'Aschenbach était d...

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« Pour le livre « La Mort à Venise», il a été influencé de Johan Wolfgang von Goethe et du voyage de Thomas Mann à Venise en 1911.

Pour le héros, Aschenbach, l’auteur a écrit un portrait dans le livre : « Aschenbach donc était né à L., chef-lieu d’un district de Silésie où son père occupait un haut emploi dans la magistrature.

» (ch.1 p.42) Et il était un homme très studieux.

« Il formait aussi le voeu ardent de vivre longtemps, car il avait toujours été convaincu que celui-là seul est un artiste, grand, total et vénérable vrailent, à qui il est donné d’exercer sa puissance créatrice et de représenter l’homme à tous les âges de la vie».

(ch.1 p.44) .

Pour le portrait d’Aschenbach, il y a aussi une longue déscription dans le livre : « Gustav d’Aschenbach était de taille un peu audessous de la moyenne, brun, le visage entièrement rasé.

Sa tête paraissait assez forte par rapport au corps plutôt délicat.

Ses cheveux ramenés en arrière, clairsemés au sommet de la tête, drus et grisonnants aux tempes, encadraient un front haut, raviné et que l’on eût dit couvert de cicatrices.

Le ressort doré de verres non cerclés entaillait à la racine un nez aquilin et ramassé.

Ses lèvres à l’ordinaire se fermaient mollement, ou bien elles se contractaient, rétrécissant soudain la bouche, qu’il avait assez grande ; ses joues maigres étaient creusées de sillons et à son menton bien fait on voyait une fossette.

On eût dit que le destin dans de graves occasions avait laissé sa griffe sur cette physionomie volontiers inclinée avec une expression de souffrance, alors qu’elle ne devait qu’à l’art un modelé qui tient ordinairement aux péripéties d’une existence agitée.

De ce front avaient jailli les étincelantes reparties des entretiens de Voltaire avec Frédéric II au sujet de la guerre ; ses yeux, dont venait à travers le lorgnon un regard profond et las, avaient découvert l’enfer sanglant des ambulance de la guerre de Sept Ans.» (ch.1 pp.49-50).. »

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