La dernière page d'un roman a-t-elle pour seul rôle de donner le dénouement ?
Publié le 21/07/2012
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Le roman engagé qui incite le lecteur à suivre l'intention de l'auteur, qui pousse à l'action, la fin Germinal de Zola qui incite à la révolte des mineurs. Il peut aussi devenir philosophique, donner une vision du monde, optimiste ou pessimiste, on peut encore citer la fin de Germinal. On voit aussi, des fins de type critique ou satirique, dans une intention morale sociale, ou politique.
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- « Celui-là qui veille modestement quelques moutons sous les étoiles, s'il prend conscience de son rôle, se découvre plus qu'un serviteur. Il est une sentinelle. Et chaque sentinelle est responsable de tout l'empire. » Dégager, — de cette dernière phrase de la page de Terre des Hommes qui était proposée —, le problème de la Responsabilité, tel que le présente St-Exupéry.
- « Celui-là qui veille modestement quelques moutons sous les étoiles, s'il prend conscience de son rôle, se découvre plus qu'un serviteur. Il est une sentinelle. Et chaque sentinelle est responsable de tout l'empire. » Dégager, — de cette dernière phrase de la page de Terre des Hommes qui était proposée —, le problème de la Responsabilité, tel que le présente St-Exupéry.
- Pour une pièce de théâtre, un roman, un film, qu'appelez-vous un dénouement « moral » ?
- A la fin de son ouvrage, La Préciosité et les précieux, de Thibaut de Champagne à J. Giraudoux, René Bray, cherchant à définir une « éthique de la préciosité », note (page 395) : « Ne pourrait-on dire que, dans la préciosité, le poète, au fond, est toujours seul devant soi ? Qu'il quête ou non l'applaudissement, il cherche d'abord sa propre approbation. Se distinguer des autres, c'est se donner du prix à soi et pour soi : le juge suprême, c'est toujours soi. La préciosité est une « dan
- François Mauriac nous livre cette réflexion, à propos du roman : « Nous devons donner raison à ceux qui prétendent que le roman est le premier des arts. Il l'est, en effet, par son objet qui est l'homme. Mais nous ne pouvons donner tort à ceux qui en parlent avec dédain, puisque, dans presque tous les cas, il détruit son objet en falsifiant la vie. » Si tout roman comporte en effet une part de vérité et une part d'imagination, quel est l'aspect qui vous touche le plus ? Peut-on condamn