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La domination par la séduction

Publié le 27/02/2020

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introduction:

 

-Accroche:  «Aussi longtemps que l’homme aime une femme, fut-ce la moindre d’entre elles il est réduit en escalvage » cette citation de Buddha implique une relation de dominance entre les deux  sexes opposé et c’est justement une des relation que je vais essayer de mettre en evidence ainsi que d’autres  à travers l’etudes du Myth de Salomé mais également à travers divers exemples encrée dans des périodes et ages différents.

 

-Résumé

 

-Dégager les idées qui sont:La faiblesse de l’Homme: La femme, le pouvoir de la luxure, le desire, la convoitise

 

Faiblesse:incapacité à resister

Désire=Etat, ou situation qui procure du plaisir. que l'on considère comme étant une source de satisfaction pour nous même.

 

Les rapports de dominants et dominé son régis par deux mécanismes la force et la séduction.

 

 

PBT2:Comment  est autorisé l’exercice du pouvoir de l’autre sur moi?

 

 

I/La domination par la séduction

A/Par le  désire cf Platon \"Ce qu'on n'a pas, ce qu'on n'est pas, ce dont on manque, voilà l'objet du désir\", disait Platon

 

-La premier facteur de domination est le résultat d’un manque ou d’une insatisfactions prenons par exemple la pensée platonicienne notamment le Myth des Androgynes qui explique que nous somme constamment entrain de chercher l’autre pour combler notre manque.

 

Par exemple Ulysse à la recherche de sa femme

 

-Le désire est donc capable de crée un intérêt immense au détriment de la raison, crée un désir chez l’autre c’est alors lui donner un objectif et également faire de lui un subordonnée de nos propre désire, c’est donc la 

« Misogyne reps Misandre Dès les premier s siècles de l’Europe chrétienne, la femme est considérée comme une menace, une dangereuse tentatrice, voire une auxiliaire de Satan.

La figure d’Ève s’impose comme l’archétype de cet imaginaire du féminin.

Or, le Nouveau Testament ne contient pas de perso nnages féminins adéquats : Marie est la mère du Christ, la « Bienheureuse », l’élue choisie pour racheter la figure pécheresse d’Ève ; les femmes qui accompagnent Jésus dans les derniers moments du Calvaire et qui seront témoins de sa résurrection sont qua lifiées de « saintes » ; quant à Marie -Madeleine, elle symbolise la femme repentie.

Restent donc Hérodiade et sa fille, responsables de la condamnation à mort du prophète Jean -Baptiste. de Salomé : la danseuse perverse, dépravée ; la femme fatale et diabo lique, véritable incarnation de la lubricité et du vice 2.

L’Homélie sur l’Évangile de Matthieu, Jean Chrysostome définit les deux crimes de Salo mé : celle -ci est tout d’abord coupable par sa danse elle -même, parce qu’elle adopte une attitude impudique pour une jeune vierge qui, selon les critères des moralistes de l’époque, se doit d’être austère dans son vêtement, de rester voilée et de ne dégage r aucun esprit de coquetterie ; mais surtout, en séduisant Hérode, elle obtient comme prix de sa prestation artistique un homicide.

Salomé apparaît donc aux yeux de Jean Chrysostome comme une figure terriblement scandaleuse parce que l’érotisme qu’elle dég age en dansant se trouve finalement lié au sang et à la mort.. »

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