La fin et la morale de Candide de Voltaire

« aussi juger par lui-même, et se remettre en question, candide est devenu un philosophe. Nous avons donc un inversement des rôles, le philosophe est tourné en ridicule car il ne change pas de positions surces idées et donc n'est pas un « oracle »et le gentil « petit candide » qui écouté les leçons de son Maître, luidevient quelqu'un qui sait se formé sa propre réflexion et devient autonome.

Candide et Pangloss sont despersonnages entièrement différents. II.

les Critères de la sagesse.A) les biens faits du travaille.Le travail nous est présenté comme une vertu, dans la phrase du vieillard le travail nous éloigne de trois grandsmaux : L'ennui, le vice, et le besoin.

C'est donc une nécessité.

On voit lorsque le vieillard fait entrer nos troiscompères que des jeunes filles viennent leur présenté quelques sorbet de milles saveurs, c'est le fruit là encore dutravail.

Pangloss admet lui aussi que le travail est destiné à l'homme, à la ligne 127-128-129 il dit une phrase en latinqui vient de la Genèse « quand l'homme fut mit dans le jardin d'Eden il y fut mis ut operaretur eum, ce qui prouveque l'homme n'est pas né pour le repos .Le travail est une richesse , qui détourne l'homme de l'ennui, du vice, et du besoin, c'est dont quelque chosed'important auquel on se doit de réfléchir, car sans travail, que serions nous.

Voltaire fait ici l'éloge du travail.B) Un manque d'ambitionsLe travail nous à était présenté comme une grande richesse, cependant on voit que dans le texte les personnagesse sont pas si bien loti que nous le pensions, « Candide, Pangloss et Martin, en retournant à la Petite Métairie » onà une opposition entre la Westphalie avec le beaux château et ici « à la petite métairie » après tout se qu'a vécutCandide il veut une vie simple.Le vieillard nous explique que il n'a que « vingt arpents » pourtant il travail et il en est fier cependant on auraitpensé que il aurait une grande terre mais en fait non, il a un petit terrain, mais un petit terrain qui suffit à sonbonheur ainsi que à ces filles.

La richesse et le pouvoir n'amène à rien car Pangloss fait une énumération de grandspersonnages de pouvoir qui sont mort d'une mort violente, le pouvoir et la richesse peut donc nuire Dans ce chapitre on nous présente la sagesse un seul critère : travail.

Le travail synonyme de richesse qui apportele bonheur mais pas dans le sens où certaines personnes le voient, là le bonheur est définit selon des critèressimple, une petite parcelle de terrain, de bon camarades, du travail et cela suffi aux personnages, ce qui est loin dela luxure, de la gloire, et une soif d'argent.

Ici le travail est un besoin qui est une chose importante afin de pouvoirvivre où survivre car nos personnages ne sont pas riche d'argent.

On peut peux être avancer que le travail leur sertde survit mais qui les amène a un bonheur innocent. III.

une clôture du récit. A) Spatial.Au chapitre 30 on remarque que nous avons un rétrécissement spatial entre le premier et le dernier chapitre, « il yavait en Westphalie » et chapitre 30 : « retournant à la petite métairie », la Turquie est remplacer par laWestphalie.

Pour Candide le monde est désormais plus vaste et ne se limite pas à la province de Thunder-Ten-Troncou à la Westphalie.

L'espace se clôt de manière ambivalente : rétrécissement social, du Château a la métairie, etl'élargissement Politique. B) Des personnages différents.Dans la métairie, candide vit avec la moitié des gents qui ont fait partis de ses voyages, néanmoins cespersonnages ont changé au fil de l'histoire.

Nous avons Pangloss qui est remplacé par un Derviche, Cunégonde quiest devenue laide et de mauvaise humeur, le frère giroflée devient un bon et honnête homme, Paquette qui arrêteson travail de prostitué afin d'aider candide dans la vie de tout les jours et candide qui lui est le personnage le plusévolutif de l'histoire.

Ainsi que la vieille et Martin qui eux n'ont pas connut de changements. Conclusion :Dés le début de l'histoire on s'attendait a une fin plutôt heureuse, seulement nous somme dans un contephilosophique.

Candide exprime une certaine philosophie occidentale par la recherche du bonheur.

Il pratiquemaintenant un discours de la raison, ce qui est une philosophie louable.

Candide est donc mûrit par son expérience.Le héros se libère des illusions du monde de l'enfance pour devenir enfin adulte et autonome ce qui est le projetmême des lumières.. »