La peste
Publié le 24/01/2013
Extrait du document
«
d’isolement sont bien organisés il se situe l.26 «aux portes de la ville »
paradoxalement les gens de l’extérieur ne peuvent pas prendre contact avec les
gens a l’intérieur l.
30-31 « empêchaient gens de l’extérieur ».
Etres enfermé est
aussi bien éprouvant physiquement que moralement.
En effet l’attente d’un signe
de vie est insupportable Le champ lexical de la prison nous le confirme l.
29 «
entouré de hauts murs », « sentinelles », « évasion », cette évasion donc
inaccessible.
Ce totalitarisme est bien présent et pourtant aucun coupable de ce
régime mis en place est évoquée l.
23 « l’administration » dont on ne sait pas qui est
responsable.
Il suffit d’un changement en contradiction avec ce qu’ un humain avait
pu connaître auparavant, que dans la difficultés d’une crise telle que la peste : que
les cotés obscure de l’être humain ressort modifiant par conséquent l’organisation
sociale dans laquelle il était.
3- Ce passage de La peste révèle la véritable nature de l'homme .
Ici les habitants
d’Oran sont aussi les représentations des Hommes en général.
Tout d’abord le
pronom « on » est omniprésent.
Il implique : le narrateur, la répression sans visage,
les oranais et même le lecteur avec l.
7 « chez nos concitoyens ».Cela permet au
lecteur de se sentir concernée par ce texte et par la situation des oranais.
Albert
Camus utilisera souvent des expressions collectives permettant de mettre tout les
humains dans la même généralité l.
4-5 « les familles pauvres », « les familles
riches », l.
7 « concitoyens »,l.
8 « hommes».Il essaye d’appliquer ce discours a tout
les humains.
Albert Camus attribue a l’être humain face a une situation inhabituelle
l’adjectif qualificatif d’égoïste l.
7 « le jeu normal des égoïsmes ».
Ce texte dévoile
les défauts humains tel que l’indifférence à la souffrance, l’égoïsme a la pensée de
s’entraider dans le besoin.
On constate que l’on est combat pour une survie
personnelle et non collective d’où cet « égoïsme ».
C’est face a la mort que l’homme,
commet les pires atrocités et rien que la notion de s’enfermer, d’enfermer un humain
qui est finalement comme nous et en plus de donner un certain nom a cet
enfermement (camp de concentration, d’extermination) révèle la noirceur de l’être
humain .
Idée très sensible dans la noire ironie de la phrase l.
8-9 « il restait, bien
entendu, l'égalité irréprochable de la mort, mais de celle-là, personne ne voulait »
cela exprime le moyen d’arrêt des atrocités.
La mort effraie l’être humain, la pensée
de tout arrêter est plus forte que celle de continuer et faire du mal et c’est pour cela
que la notion de mort permet de limiter l’homme dans ces atrocités.
Ici l'homme est
présenté comme mauvais, il se bat pour ne pas mourir tant qu’à donner la mort a
d’autre que lui.
Cette notion rejoint un peu celle de l’égoïsme.
C’est avec « les
familles pauvres » et « les familles riches » que la cupidité de l’être humain ressort.
Alors que la misère est présente et qu’elle va s’accentuer due a une crise telle que la
peste, celle-ci, va accentuer la cupidité de certain humais ici « les familles riches »
qui vont profiter de la détresse des « familles pauvres » et de la misère pour leurs
propres intérêts financiers.
Dans une situation inhabituelle l’homme ne se révoltera
pas pour une cause générale mais pour venir à ses besoins élémentaire
personnelles l.
10-11 « où la vie était libre et où le pain n'était pas cher ».
Ici Albert
Camus utilise l’ironie pour montrer l’intérêt humain et ce qui lui importe.
Ce qui est le
plus choquant dans ce texte et qui révèle la nature humaine est l’indifférence de
l’humain qui continue de vivre comme si de rien était l.32-32 « les tramways qui
passaient » alors que pendant ce temps, il laisse des hommes mourir a coté d’eux
comme si tout allait bien et qu’il ne voulait juste pas les « importuner ».
2 /3.
»
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