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La peste

Publié le 24/01/2013

Extrait du document

FRANCAIS 1- La Peste, d' Albert Camus, est une tragédie en cinq actes. L'histoire se passe à Oran, un mois d'avril des années 40, dans une ville laide sur laquelle la peste s'abat. L'extrait décrit le quotidien de la ville pendant l'épidémie. La situation de quarantaine,du a cette peste qui n'est en faite arrivée que dans le roman d'Albert Camus e loin de révéler les qualités humaines des habitants d'Oran et au contraire met en évidence l'importance de l'argent dans la société qui entraîne des inégalités sociales. 2- Le comportement en situation inhabituelle ici la contamination de la peste modifie le comportement humain. On apprend d'abord que cette l'isolement de la ville due au portes fermées entraîne une pénurie l. 1- 2 « difficultés du ravitaillement «.Cette pénurie entraînera alors plusieurs conséquences comme on peut le constater l. 3 « prix fabuleux «, « denrées de première nécessité « cette antithèse démontré par l'augmentation de produit de basse qualité, l'égoïsme de l'être humain qui se met en place en cas de crise. Tout comme dans Primo Levi dans une situation de désespoir des le camps de concentration, les valeurs Humaines apparaissent (solidarité, partage) et un « marché noir « est mis en place pour combler aux denrées paradoxalement absente du l. 4 « marché ordinaire «.Comme dans toutes sociétés il existe des inégalités sociales, des personnes plus aisées on constate qu'en temps de crise comme celle de la peste les inégalités sociales augmentent : l. 4-5 « familles pauvres «, qui sont dans une « situation très pénible « et les « familles riches « qui « ne manquaient de rien «. Cette antithèse entraîne alors un l. 8, « sentiment de l'injustice «. L'envie d'un retour, d'une vie normale se fait alors sentir et c'est avec un sentiment nostalgie que les habitants regrettent de ne pas avoir plus profitait de leur vie avant cette contamination l.10 « pensaient, avec plus de nostalgie encore « et c'est alors un sentiment d'incompréhension et de jalousie (pourquoi moi ?) qui apparaît l. 10-11 « où la vie était libre et où le pain n'&...

« d’isolement sont bien organisés il se situe l.26 «aux portes de la ville » paradoxalement les gens de l’extérieur ne peuvent pas prendre contact avec les gens a l’intérieur l.

30-31 « empêchaient gens de l’extérieur ».

Etres enfermé est aussi bien éprouvant physiquement que moralement.

En effet l’attente d’un signe de vie est insupportable Le champ lexical de la prison nous le confirme l.

29 « entouré de hauts murs », « sentinelles », « évasion », cette évasion donc inaccessible.

Ce totalitarisme est bien présent et pourtant aucun coupable de ce régime mis en place est évoquée l.

23 « l’administration » dont on ne sait pas qui est responsable.

Il suffit d’un changement en contradiction avec ce qu’ un humain avait pu connaître auparavant, que dans la difficultés d’une crise telle que la peste : que les cotés obscure de l’être humain ressort modifiant par conséquent l’organisation sociale dans laquelle il était.

3- Ce passage de La peste révèle la véritable nature de l'homme .

Ici les habitants d’Oran sont aussi les représentations des Hommes en général.

Tout d’abord le pronom « on » est omniprésent.

Il implique : le narrateur, la répression sans visage, les oranais et même le lecteur avec l.

7 « chez nos concitoyens ».Cela permet au lecteur de se sentir concernée par ce texte et par la situation des oranais.

Albert Camus utilisera souvent des expressions collectives permettant de mettre tout les humains dans la même généralité l.

4-5 « les familles pauvres », « les familles riches », l.

7 « concitoyens »,l.

8 « hommes».Il essaye d’appliquer ce discours a tout les humains.

Albert Camus attribue a l’être humain face a une situation inhabituelle l’adjectif qualificatif d’égoïste l.

7 « le jeu normal des égoïsmes ».

Ce texte dévoile les défauts humains tel que l’indifférence à la souffrance, l’égoïsme a la pensée de s’entraider dans le besoin.

On constate que l’on est combat pour une survie personnelle et non collective d’où cet « égoïsme ».

C’est face a la mort que l’homme, commet les pires atrocités et rien que la notion de s’enfermer, d’enfermer un humain qui est finalement comme nous et en plus de donner un certain nom a cet enfermement (camp de concentration, d’extermination) révèle la noirceur de l’être humain .

Idée très sensible dans la noire ironie de la phrase l.

8-9 « il restait, bien entendu, l'égalité irréprochable de la mort, mais de celle-là, personne ne voulait » cela exprime le moyen d’arrêt des atrocités.

La mort effraie l’être humain, la pensée de tout arrêter est plus forte que celle de continuer et faire du mal et c’est pour cela que la notion de mort permet de limiter l’homme dans ces atrocités.

Ici l'homme est présenté comme mauvais, il se bat pour ne pas mourir tant qu’à donner la mort a d’autre que lui.

Cette notion rejoint un peu celle de l’égoïsme.

C’est avec « les familles pauvres » et « les familles riches » que la cupidité de l’être humain ressort.

Alors que la misère est présente et qu’elle va s’accentuer due a une crise telle que la peste, celle-ci, va accentuer la cupidité de certain humais ici « les familles riches » qui vont profiter de la détresse des « familles pauvres » et de la misère pour leurs propres intérêts financiers.

Dans une situation inhabituelle l’homme ne se révoltera pas pour une cause générale mais pour venir à ses besoins élémentaire personnelles l.

10-11 « où la vie était libre et où le pain n'était pas cher ».

Ici Albert Camus utilise l’ironie pour montrer l’intérêt humain et ce qui lui importe.

Ce qui est le plus choquant dans ce texte et qui révèle la nature humaine est l’indifférence de l’humain qui continue de vivre comme si de rien était l.32-32 « les tramways qui passaient » alors que pendant ce temps, il laisse des hommes mourir a coté d’eux comme si tout allait bien et qu’il ne voulait juste pas les « importuner ». 2 /3. »

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