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La politesse. Son importance.

Publié le 19/05/2012

Extrait du document

On a souvent appelé la politesse, comme la propreté, une demi-vertu. C'est un mérite très réel que d'être poli. La politesse est la marque extérieure d'un bon coeur et d'un esprit délicat. Elle augmente la valeur de nos autres qualités; sans elle la vertu est comme un diamant qui ...

« 2i0 lŒClElL Sommaire.

1.

La polilessc.

Son mérite.

Sa nécessité.

9 -.

• 1 en elle-même.

~.

::;on lmportance 1 dans l'esprit des parents.

4 3.

Il faut polit· ct non raffiner.

>.

Il faut combattre les dispositions qui sont contraires à la poli­ tesse.

De'veloppernent.

On a souwnt appelé la politesse, comme la propreté, une demi-vertu.

C'est un mérite tr1\s réel que d'être poli.

La politesse est la marque rxtériemc d'un bon cœur ct d'un esprit délicat.

Elle augmente la valeur clc nos autres qua­ lités; sans elle la vertu est comme un cliamant qui n'est pas taillé et qui ne peut servir d'omemcnt.

Nous devons C·tre polis , non seulement envers nos supérieurs, mais encore envers nos égaux, si nous voulons qu'ils aient des c·gaJ•ds pom nous, et envers nos iuf{~rieurs, auxquels notre supèriorité est assez lomdc it portf'I', sans que nous fm aggraYions le fanleau par notre gros~ièreré.

Rf'mar­ quons que les personnes qui savent rester dignes en face de leurs supi'~ricms sont les plus atrables avec leurs égaux et leurs inférieurs.

La politesse a toujoms {•té un 11·ait clistinctif de l'édu­ cation française; chez nous, on n'est pas hien élevé si l'on nr possède le savoir-Yi \Tc.

Le:; nations rivales ellrs­ mt'·mes sont convenues d'appeler politesse française la distinction dans les manirres, le sentiment des bienséances, le tact, l. »

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