le dernier jour d'un condamné; chapitre XXXI de Hugo

« Dissertation L’architecte venue mesurer la cellule du condamné six semaines avant sa mort le considère comme déjà partit, comme une pierre de plus dans la cellule.

Voilà le sentiment du condamné, il se sentait comme une pierre de plus mais aussi une pierre de trop à la cage qui lui servait de cellule.

Cela évoque un sentiment qui heurte la conscience sociale du condamné qu’il soit considéré comme déjà exécuté alors qu'il a encore six semaines à vivre, comme nous le voyons dans le Chap XXXI ligne:29-30: “Moi,j’étais là, comme une des pierres qu’il mesurait” Ici le condamné s’est senti déshumanisé par la présence de cet architecte qui ne s’occupait que de ces mesures. Nous voyons aussi qu’il se moque ouvertement de lui en disant d’un ton satirique (chap: XXXI-ligne 20):Vous n’en jouirez pas, c’est dommage” L’architecte se permet de se moquer de la situation du condamné en riant de son exécution ouvertement et sans gêne, la formule “vous n’en jouirez pas” montre que l’architecte jubile sur l’exécution du condamné et en fait même des blagues afin de se moquer de lui, ces paroles sont assez étonnantes de la part d’un ingénieur sachant que c’est un métier pour lequel il faut s’éduquer et se cultiver pendant de nombreuses années, ses paroles prouve que la bêtise n’as pas de statut sociale. Le bourreau a un comportement indignant envers le condamné.

Il est l’une des dernières personnes que le condamné verra avant de mourir mais il n'hésite pas à être horrible avec ce dernier.

Il joue de lui, s’amuse de son malheur.

Le condamné est, comme nous l’avons vu durant toute l'œuvre, un homme gentil et doux.

Il sait décrire les personnes qu’ils rencontrent de la façon dont ils agissent réellement.

Quand il décrit le bourreau, même sans adjectif superflus, nous comprenons sa méchanceté et son inhumanisme. Il écrit “poussé”, “coupé au hasard”, afin de montrer la façon.... »