le lion le loup et le renard

« : les ordres sot executés sans discussion et le renard sembe malmené par es gendares qui viennent le chercher. * Mais le renard va brillament renverser la situation : l'attitude générale : le calme, des paroles mesurés envers son adversaire. * Un immense respect envers le roi.

compréhension de ses problèmes et sympathie.

(procédés de persuasion qui s'adressent à la sensibilité ) * Justification des son absence : invente une raison qui flatte le roi: pas refus d'hommage mais hommage différé à cause d'un pélérinage pour la santé du roi.

Il aparaît ainsi comme : => homme pieux. => sujet exceptionnel, le meilleur. => être intelligent car en a profite pour rencontrer des savants. * Il présente au roi une explication simple de sa maladie et une solution facile à réaliser (ce qui est en fait un supplice horrible :" un loup ecorché vif"). * puis le Renard passe de l'indéfini au défini et se venge de son ennemi avec une plaisanterie d'assez mauvais goût. * aucun commentaire de la part du roi (ellipse), l'exécution a l'air de précéder son désir, lâcheté des courtisans, pas un ne proteste. * Activité fébrile pour obéir : phrases juxtaposées, présent de narration, verbes d'action, vers courts; on a l'impression que tout le monde s'active : « on » II – La cruauté/ferocité du lion et des courtisans : • loup : courtisan medisant • renard : trompeur universe = parole habile • burlesque et humour noir : ferocitédes intrigues de la cour • monarque : mise e garde des courtisans • III.

Critique politique de LF : critique des courtisans et du pouvoir royal. • aucun commentaire de la part du roi, fait executer le loup sans aucun remord + lacheté des courtisans : pas un ne proteste. • Cruauté du lion qui est loin d'avoir des remords : s'epiffre de plus avec du pot au feu de loup • ambiguité du vocabulire employé : entre le voc animal et humain • LF decrit des courtisans flatteurs et sans scrupues qui n'hésitent pas a denoncer l'un dees leurs pour moter dans la faveur du roi les consei donné par la more encouragent a a solidarité. • Mais plus encore que la critique des courtisn, ce qui frappe dans cette fable c'est la critique sans ménagement du pouvoir royal : le roi apparait comme un etre tyranique et cruel qui exige obeissance absolue, pret a tout pour assurer sa surve ou satisfaire son appetit et en meme temps naif et incapable de faire la distinction entre la vérité et la flatterie.. »