Le Malade Imaginaire (1673) Acte III, scène 3

« Le Malade Imaginaire (1673) Acte III, scène 3 Amorce : le 17eme siècle est le siècle du théâtre et surtout celui de la comédie auteur : Molière de son vrai nom Jean Baptiste Poquelin, a été directeur de troupe dramaturge, acteur et metteur en scène, il a écrit de nombreuses comédies et a fait évoluer le genre.

Certaines comédies révèlent de la farce comme le médecin malgres lui en 1666, d’autre de la tradition italienne de la comedia del arte par exemple les fourberies de scapin, écrite en 1671.

et surtout il y a aussi des comédies ballet dont il invente le genre et dans lequel intervient des danseurs, chanteurs et comédiens.

Sa première comédie ballet a été écrite en 1670 avec Bourgeois Gentilhomme.

Ici nous étudions Le Malade Imagianire qui est sa seconde comédie ballet écrite en 1673 et c’est une illustration brillante de la comédie ballet au 17eme. L’œuvre en détail : Le Malade Imaginaire connu succès immédiat a paris des sa création le 10 février 1673.

sa représentation était somptueuse offrant au public un spectacle total.

Comédie ballet en 3 actes écrite en prose.

La comédie éponyme renvoie son personnage principal Argan (le malade imaginaire) qui est un homme extravagant qui croit être malade et exige d’être soigner par des médecins incompétent et ridicule.

Sa servante rusé Toinette va l’aider a retrouver sa raison.

Après sa mort, sa pièce reste la pièce la plus joué en France et dans le monde. Situation du passage : le passage étudie ici est un extrait de la scene 3 de l’acte 3.

avant cela Argan a decide de marier sa fille angélique au fils de son médecin Diafoirus mais Béralde (son frr) tente te le dissuader et lui faire comprendre qu’il ne fait bcp trop confiance aux médecins. ➔ 1er mouvement : le roman de la médecine ➔ 2eme : Béralde la voix de la raison face a la folie d’Argan ➔ 3eme : un certain Molière ➢ 1er mouvement : le roman de la médecine Dans ce passage Béralde essaie de montrer a son frr que le bon ses est preferable a la medecine de l’époque et il critique notamment Mr Purgon, le medecin de Argan.

Ainsi l’anaphore « rien » vient a insiste sur la repo,se inattendu de Béralde a la question d’Argan qui revele son obsession « que faire quand on est malade ? » ici il ya un comique de mots avec cette anaphore psq le « rien » cest surtout pas la reponse attendu par Argan.

La réplique de beralde explique que les hommes souffrent surtout de mot psychique inquietude et impatience dans le texte.

Et il enonce un paradoxe je cite « les hommes meurent de leur remede et non pas de leur maladie ».

a la fin, afin de faire reagir Argan ; le present de verite generale dans cette phrase renforce la véracité du propos de beralde et permet a cette phrase de raisonner un peu comme un proverbe.

Ici nous avons donc un dialogue argumentatif qui se déroule entre les 2 hommes, les connecteurs logique « comme » « mais » a la ligne ?? le montrent, les 2 frr ont des avis opposés.

L’argument de Beralde pour montrer la crédibilité humaine et je cite « le roman de la médecine » et le mot roman au 17eme était connoté de façon péjorative psq cela voulait dire choses inventé, chose fausses.

Ligne 19 avec le mot roman justement, beralde insiste sur l’aspect mensonge et faux et inventer ainsi les médecins raconteraient des histoires aussi peu vrai que des contes pour enfants.

Beralde elu maire des actions medicales avec des verbes d’action « aider, retablir, remettre en place, temperer, reparer, racommoder, fortifier, rectifier, secourir, conserver, donner » il utilise pas le verbe soigner ca cest vrm a retenir, pq ? Car justement il veut montrer que les médecins ne font pas que remettre en place lordre.... »