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Le pain de ponge

Publié le 20/10/2012

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Lecture analytique d’un texte   « Le Pain «   Questions :   Distinguer, au fil des paragraphes, les divers points de vue portés sur l’objet pain. Compléter cette analyse par l’examen du système pronominal du texte. Analyser la métaphore filée dans les deux premiers paragraphes. Quel effet permet-elle ? Examiner le champ lexical dominant dans le 3° paragraphe : analyser le basculement de perception et de tonalité qui s’y produit. Quels jeux sur les sonorités l’accompagnent ? Expliquer l’ambiguïté du « brisons-la «. A quelle désacralisation du pain conduit-elle ?   Le texte est à l'image de la réalité, le poète décrit avec logique et aisance le phénomène, telle une œuvre d'art, et cette démarche qui se révèle être scientifique, conduit à l'émerveillement du lecteur, qui considère l'objet comme vivant, tel un être humain. Il est ainsi séduit, plongé dans la description, à tel point qu'il imagine que l'objet se situe tout près de lui, et parvient à ressentir cette chaleur, ce bien être que les Poêles lui procurent.   Dans les deux premiers paragraphes, la métaphore filée apparait à la ligne 5, « une masse a...
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«   Le texte est à l'image de la réalité, le poète décrit avec logique et aisance le phénomène, telle une oeuvre d'art, et cette démarche qui se révèle être scientifique, conduit à l'émerveillement du lecteur, qui considère l'objet comme vivant, tel un être humain.

Il est ainsi séduit, plongé dans la description, à tel point qu'il imagine que l'objet se situe tout près de lui, et parvient à ressentir cette chaleur, ce bien être que les Poêles lui procurent.   Dans les deux premiers paragraphes, la métaphore filée apparait à la ligne 5, « une masse amorphe en train d'éructer ».

La métaphore filée révèle dans une comparaison cachée.

Le pain constituant l'objet comparé à un élément sans forme qui libère des gaz sous l'effet de la chaleur, un élément à la comparaison du 1er paragraphe « comme si l'on avait à sa disposition, sous la main, les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes » qui révèle, l'impression que le pain opère sur le poète, l'émerveillement à la vue de cet objet magnifique, précieux.

Il utilise de nombreux substantifs pour sa description : « vallées, crêtes, ondulations, dalles, lumière... » qui renvoient à la nature, à la magie des lieux, et donc du pain.   Les deux premiers paragraphes s'organisent autour d'un lexique imagé : Le premier est développé par une comparaison filée « comme [...] des Andes ». Le deuxième paragraphe s'appuie lui sur une métaphore filée « Ainsi donc [...] crevasses ». Elle présente successivement l'aspect extérieur du pain et l'aspect intérieur de celui-ci.. »

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