Devoir de Philosophie

LE THEME DU LIBERTINAGE DANS « DOM JUAN »

Publié le 15/06/2012

Extrait du document

juan

I. INTRODUCTION

            I.1. Libertinage

Le mot "libertin" est dû au latin "libertus", qualifiant un esclave affranchi. En générale, le libertin est donc un homme affranchi des conventions religieuses, et contestataire vis-à-vis des idées traditionnelles ; souvent un sceptique et un athée.     

Le libertinage existe, de plus, dans plusieurs types de personnes :

§        Le jeune homme sans expérience, qui entre dans le monde

§        Les libertins expe1rimente qui élaborent leur stratégie : choix, séduction, chute, rupture.

§        La jeune fille pure confrontee aux vice, etc.

S’appuyant sur sa caractéristique et ses performances, le libertinage est devisé en deux formes :

Libertinage intellectuel ou libertinage de pensée :

Le libertinage de pensée est un courant de pensée caractérisé par la prépondérance du matérialisme selon lequel tout l’univers viendrait de la matière et non d’un certain créateur. Les libertins sont donc pour la plupart athées et considèrent que la raison est primordiale par rapport à la religion.

Il est développé en Italie, et débouchera au XVIIIe siècle sur la notion de raison critique des philosophes.

Matérialistes : Le libertin croit que le fonctionnement du monde répond aux lois de la nature et de la matière. L'homme doit alors utiliser son raisonnement pour comprendre ces lois, plutôt que de sa croyance aveugle en Dieu.

Alors que la monarchie française repose sur une légitimité divine, on comprend facilement que des individus se voulant indépendants de toute règle imposée du dehors par la morale ou la religion, établie par l'Église, l'État ou la Tradition pouvaient représenter une menace. D’ailleurs, les libertins appelaient de leurs vœux l'apparition d'une société reposant sur la vertu (et non les privilèges), dans un esprit de justice et d'entente sociale. L'Église est donc contre.

juan

« I.

INTRODUCTION I.1.

Libertinage Le mot "libertin" est dû au latin "liber tus", qualifiant un esclave affranchi.

En générale, le libertin est donc un homme affranchi des conventions religieuses, et contestataire vis-à-vis des id ées traditionnelles ; souvent un sceptique et un athée.

Le libertinage existe, de plus, dans plusieurs types de personnes :  Le jeune homme sans expérience, qui entre dans le monde  Les libertins expe1rimente qui élaborent leur stratégie : choix, séduction, chute, rupture.

 La jeune fille pure confrontee aux vice, etc.

S’appuyant sur sa caractéristique et ses performances, le libertinage est devisé en deux formes : Libertinage intellectuel ou libertinage de pensée : Le libertinage de pensée est un couran t de pensée caractérisé par la prépondérance du matérialisme selon lequel t out l’univers viendrait de la matière et non d’un certain créateur.

Les libertins sont donc pour la plupart athées et considèrent que la raison est primor diale par rapport à la religion.

Il est développé en Italie, et débouchera au XVIII e siècle sur la notion de raison critique des philosophes.

Matérialistes : Le libertin croit que le fonctio nnement du monde répond aux lois de la nature et de la matière.

L'homme doit alors utiliser son raisonnement pour comprendre ces lois, plutôt que de sa croyance aveugle en Dieu.

Alors que la monarchie française re pose sur une légitimité divine, on comprend facilement que des individus se voulant indépendants de toute règle imposée du dehors par la mora le ou la religion, établie par l'Église, l'État ou la Tradition pouvaient représenter une menace.

D’ailleurs, les libertins appelaient de leurs vœux l'apparition d'une société reposan t sur la vertu (et non les privilèges), dans un esprit de justice et d'entent e sociale.

L'Église est donc contre.

On ne retient aujourd'hui volontiers que l'aspect sensuel et vaguement immoral du libertinisme, ce qui est la cons équence de leur philosophie : l'absence de Dieu légitime l'envie de jouir de sa vie terrestre et ce but est ultime.

Une réflexion naît sur les rapports entre la foi et la raison.

Les découvertes géographiques sont contraires à la doctr ine de l'univers chrétien au centre du monde.

La redécouverte des chefs-d'œuvre pa ïens démontrent que l'art et la beauté peuvent exister en dehors de toute référence chrétienne.

Les découvertes scientifiques mettent en contradiction le fait scientifique et le dogme religieux.

Les. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles