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L'ecole des femmes scène 5, acte II

Publié le 13/10/2013

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Je suis étudiant américain. J'ai réçu un A- parce qu'il n'y a pas de conclusion.             Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, était un grand écrivain français du XVIIe siècle. Il a hérité de son père le titre de tapissier du roi et est aussi devenu avocat licencié en 1643, mais il préférait le théâtre.  Inspiré par le théâtre comique de l'Italie, il a rétablit la farce en France et lui a donné de la respectabilité.  En 1662, sa grande comédie, L'école des femmes, était un immense succès au théâtre du Palais-Royal.  Cette pièce traite des sujets sérieux (comme le cocuage et le rôle des femmes en mariage) et a pour but d’instruire en divertissant.  Dans L'école des femmes,  il s'agit d'un homme qui s'appelle Arnolphe (son nom fait référence au cocuage) qui a tant peur d'être cocu qu'il ait élevé une fille sans éducation et sans fréquentation des autres gens pour qu'elle soit sa loyale épouse.  (Molière lui-même jouait le rôle d'Arnolphe, qui était semblable à lui parce qu'il aussi avait épousé une femme qu'il connaissait comme fille.)  Mais son plan était voué à l’échec parce qu'un autre homme, Horace, est tombé amoureux d’Agnès.             Dans la scène 5 de ...

« (v.

578).  L'autre quiproquo repose sur qui sera le marié d'Agnès.  Agnès croit qu'elle va épouser Horace, mais Arnolphe veut l'épouser lui-même (v.

625-629).  La situation est très comique à cause des quiproquos, mais aussi à cause des répétitions, surtout la répétition des révérences (v.

488-502).             Les didascalies de cette scène ne montrent pas beaucoup de comique de gestes, mais c'est amusant quand Arnolphe reprend haleine après découvrir qu'Horace a simplement pris un ruban (580).  Les acteurs peuvent agir d'une manière comique sans les didascalies.  Il y a peut-être des autres gestes (par exemple si Agnès obéit à la commande « montez là-haut » d'une manière réticente [641]).

Agnès peut bien sûr aussi faire les gestes des répétitions de révérences (488-502).             Il y a une autre sorte de répétition qui ajoute au comique de mots.  Les mots « belle, » « fort » et « six » sont répétés (459-460, 466).  Il y a aussi le comique de mots des phrases coupées quand Agnès est réticente à révéler ce qui a été pris (572).  De plus, il y a des double sens des mots.

Par exemple, « tout accorder » peut exprimer « accorder la derrière faveur » ou coucher avec quelqu'un (une chose dont Agnès ne sait rien) (v. 585).  Il y a aussi des doubles sens des caresses du mariage et « Mariez-moi » (v.

619, 612).             Le comique de caractère tourne autour des personnalités des personnages.  Agnès est si naïve qu'elle croit les mots de la vielle dame au sens littéral : qu'elle a vraiment blessé Horace (v.

509).  Elle demande si elle a laissé tomber quelque chose du balcon (v.

516).  Elle croit que ses yeux ont vraiment un venin qui a fait Horace malade à mourir (v.

520-526).  Elle ne pouvait pas le laisser mourir (v.

541).  Si elle est si naïve qu'elle croie n'importe quoi, c'est la faute d'Arnolphe.  Le comique de caractère d'Arnolphe est révélé dans ses injures.  Il est en colère, mais il dit ses injures à part, cachés d'Agnès (v.

511, 535).             Le plan d'Arnolphe d'épouser Agnès sans risque de cocuage est voué à l'échec si Agnès est amoureuse d'Horace.  Alors, il essaie de noircir Horace dans les yeux d'Agnès : « vous abuser et puis après s'en rire » (v. 591-592).  Arnolphe veut aussi noircir l'amour par dire que telle chose est un péché mortel (v.

599).  Il veut faire peur à Agnès.  Mais Agnès résiste (v.

603-605).  Elle n'est pas d'accord.  Elle a ses propres idées sur amour.  Selon elle, l'amour est plaisant et douce (603-604).             Avoir ses propres idées est un signe de sa transformation de la simplicité au raisonnement.  À force de ses questions, elle prend conscience de ses sentiments et donne éloge à l'amour (v.

564, 604).  Au début de la. »

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