Devoir de Philosophie

Lecture analytique gargantua

Publié le 26/01/2013

Extrait du document

lecture
Lecture Analytique : Prologue de Gargantua. Introduction : Il subit une éducation du moyenne âge, c'est à dire un enseignement par le par coeur qui ne fait pas appelle à un esprit de réflexion. Dans les années 1520, il devient moine chez les franciscains. Pendant ces années il s'intéresse à la culture grecque. Il entreprend des études de médecines. Il devient médecin de du Bellay et cela va lui augmenter sa côte de popularité. En 1532, il écrit « Pantagruel «. Le 5ème livre a été publié à titre posthume. Fort du succès de sa première oeuvre, « Pantagruel «, Rabelais publie en 1534 sous le pseudonyme de Alcofribas Nasier, « Gargantua «, l'histoire du père du héros nommé précédemment. Ce roman met en scène, le géant éponyme dont toutes les aventures ont pour but d'illustrer la pensée humaniste de l'auteur. Dans ce prologue de l'oeuvre, l'autre vient s'adresser à ces lecteurs en utilisant un style imagé qu'il ne faut pas se fier à l'aspect extérieur ...
lecture

« a   : l’auteur pédagogue humaniste b   : l’art du portrait a   :  L’auteur s’adresse aux lecteurs en tant que bon disciple.  C’est pour r éaliser le pacte de lecture, pour cela il doit  être   plaisant.  Gr âce  à des interrogatives, il essaie d’ éveiller la curiosit é du   lecteur et qu’ils puissent en quelque sorte participer au d ébat.

  «    A quoi tend,  à votre avis, ce pr élude et coup d’essai   ?   » C’est   d’ailleurs l’une des bases l’enseignement humaniste. Il utilise m ême des expressions vulgaires comme «   Caisgne   »   qui signifie «   Chienne   » pour pouvoir se rapprocher du lecteur. Lorsqu’il cite Galien, il veut juste montrer que la moelle est un   aliment  élabor é. On peut donc dire qu’il fait par de son savoir   sans trop l’ étaler.  b   : l’art du portrait   Lorsque Rabelais compare ces lecteurs  à un chien, cela n’a   rien de p éjorative au contraire, car pour lui c’est un animal   entreprenant et pers évèrent dans sa qu ête de trouver son   gibier. Le lecteur devrait en faire de m ême avec son œuvre et   toujours vouloir en savoir plus. Si on regarde le vocabulaire de l’activit é de celui ci, il n’est que   m élioratif   : «    D évotion, Soin, Ferveur   ».  Gr âce aux verbes suivants   : «    Guetter, Garder, Tenir et   Sucer   », le lecteur doit comme le chien se nourrir de l’œuvre   comme lui de la moelle. . »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles