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Lecture Analytique n°1 – Britannicus- Scène 1 acte 1

Publié le 23/09/2018

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1) Il y a deux camps: Néron et Burrhus ( haut responsable militaire). Burrhus est le projet du perchoir. Deuxième personne la + haute placée dans l'empire après Néron. Burrhus justifie l'enlèvement de Junie

: Agrippine, Britannicus et Junie. Agrippine et Britannicus sont d'anciens ennemis. Ils deviennent alliés car ils ont un ennemi en commun : Néron. Néron est l'ennemi de Britannicus car il essaie de l'évincer. Néron veut s'émanciper de sa mère. Narcisse pousse Britannicus a s'allier avec Agrippine. Chaque personnages a un confident. A la fin de l'acte I, on ne sait pas quel camp va gagner → suspense

 

2) Il y a des complots permanents. Agrippine se présente comme une femme sans feinte. Elle sous entend une atmosphère de mensonge et de dissimulation. Britannicus dit qu'il n'a aucun ami. Britannicus se révèle naïf car il croit en la sincérité de Narcisse. Racine souligne que la naïveté, la crédulité sont des erreurs politiques.

Britannicus fait confiance a Narcisse par respect pour son père, car il était son confident, donc Britannicus ne remet pas en question Narcisse.

Le palais est surtout le lieu ou on ne peut avoir de secrets pour Néron car celui ci a des yeux partout, des espions qui lui rapportent tut.

 

3) Britannicus pense que l'enlèvement de Junie peut avoir des conséquences positive politiques sur lui et espère que ça l'aidera. Il n'est pas naïf en politique. Il essaie de tirer profit de l'enlèvement de Junie malgré son amour pour elle. Ce n'est pas un personnage uniquement naïf, mais plus mure et plus réfléchi qu'il n'y paraît, contrairement aux accusations portées a Racine.

 

4) Néron est absent. Racine met en place une attente. Il apparaît comme le personnage le plus puissant. Les choses bougeront quand il se réveillera. L'exposition s'étend sur tout l'acte I.

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« suite a l'enlèvement de Junie.

Conflit opposant Néron et Agrippine.

( Britannicus et Junie ne sont que des pions).

En faisant enlever Junie, Néron ôte la crédibilité de Britannicus, d'autre part, Néron commence a se révolter contre sa mère.

Premier acte d'émancipation.

Cet enlèvement a une signification politique. II- Les relations des personnages A- Les personnages : 1) Agrippine Elle apparaît comme une femme assoiffé de pouvoir « il me le doit ».

Pour elle, Néron n'est qu'un instrument dans sa main, il doit être a son service.

Elle se fiche qu'il soit vertueux.

Elle veut qu'on se souvienne d'elle en tant que la mère de Néron.

Elle est égoïste et immorale.

D'après elle, Néron dit veiller sur ses proche et non sur son peuple.

Elle apparaît comme quelqu'un d'assez lucide : elle avait prévue la catastrophe.

Elle est capable de prédire ce qui va se passer : elle est fataliste ; elle voit les choses en noir, et elle voit que son fils ment : champ lexical du mensonge.

Cependant, elle reste attachée a son fils, elle est est très possessive.

Elle souffre de cette distance avec son fils : désarroi maternel.

Elle va petit a petit se libérer de ses souffrance en parlant a Albine ? Elle est très intelligente et comprend que l'enlèvement de Junie lui est visé. 2) Albine c'est la confidente d'Agrippine.

Elle pose les question.Elle a un regard tr_s flatteur sur Néron.

Elle est la pur mettre un fossé entre le pont de vue du peuple qui idéalise Néron et le point de vue plus pessimiste d’Agrippine.

Elle met en valeur Agrippine.

Grâce a Albine, le palais de l'empereur est représenté comme un palais de mensonge et de dissimulation. 3) Néron absent physiquement, il n'est question que de lui, c'est autour de lui que l’action va tourner.

On a deux visons différentes de Néron : Celle d'Albine : portrait mélioratif → un éloge.

Et celle d'Agrippine que fait de son fils : champ lexical de la dissimulation, des mots qui appartiennent au champs lexical de la cruauté, de la sauvagerie et de la violence.

Elle insiste sur l'hérédité.

Il y a un parallélisme qui permet de montrer qu'il a hérité des défauts.

Elle le rapproche de Caligula qui a été un empereur fou, sanglant, qui donne une image du futur Néron. La curiosité du spectateur font naître les questions sur la vraie nature de Néron.

Par ailleurs, les deux portraits sont liés parce que Néron est en train de changer.

« Las de se faire aimer, il veut se faire craindre »(l,12) → Passé et futur.

Il est à la croisée des chemin.

Il délaisse la vertu pour se diriger vers le vice et vers un nouveau règne de la terreur.

« Il cesse de se contraindre » : Il va laisser libre court a son imagination : Naissance d'un monstre. B- Leurs relations.

Il s'agit de conflits.

Tout un champ lexical du conflit laisse penser que toutes les relations des personnages sont des conflits.

Conflits mère -fils.

Également entre Néron et Britannicus, or Britannicus est le demi-frère de Néron.

Il y a une relation de soumission entre Agrippine et Néron.

Elle fait preuve du. »

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