Les Chant et les Fêtes d'Henri Gougaud
Publié le 21/10/2012
Extrait du document
«
Toutefois la mystérieuse dame reste patiente et accorde une troisième chance pour le dernier garçon, elle lui
enseigne alors « Les chants et les fêtes ».
Par contre, la femme-aigle rajeuni lorsqu'elle se « délivre de son
savoir », alors il est claire qu'elle a tout avantage dans cet entente, comme dit « au travail vivement! », elle est
pressé de rajeunir, donc elle agit aussi par désir personnel.
Cependant l'auteur tente de livrer un message par
la tournure de ces évènements ; le savoir restera toujours éternel tant qu'il sera partagé.
Avec son père, le fils construit une grande maison pour y accueillir toutes sortes de gens.
Ils font la fête jusqu'à
l'aube.
Lorsque les invités partent, tout en s'éloignant se couvrent peu à peu de poils.
Le fils ayant appris de la
mère-aigle, ouvre les yeux à son père lorsqu'il s'apperçoit que les hommes qui sortent de chez-lui sont en fait
d'authentiques animaux.
Ainsi, « quand la fête est belle, son pouvoir est si grand qu'il change les bêtes en
hommes véritables ».
Bref, l'initiation par le chant fait passer de l'animalité à l'humanité
En conclusion, les hommes sont des gens ignorants qui sont peu civilisés.
Mais, grâce à l'aide de la mère-aigle
ils apprennent les chants et les danses qui font d'eux de véritables hommes civilisés qui partagent leurs
savoirs aux générations futures de sorte que leur savoir reste toujours jeune.
Du même coup, les hommes
apprennent qu'il a beaucoup a apprendre des animaux et qu'ils sont aussi importants que les hommes et qu'il
faut les respecter comme si ils étaient des humains.
De nos jours , même dans notre civilisation , il y a encore
des gens boudés qui ne veulent pas recevoir l'éducation civilisé
.
»
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