Poèmes de Paucas Meae de Victor Hugo.

« 1. Ce livre IV occupe une place centrale dans les Contemplation comme l’œuvre complète de Victor Hugo.

Le poète y exprime sa souffrance de père, après la mort de sa fille Léopoldine. Sentiments mêlés de douleur et d’amour, souvenirs heureux, communion avec la nature, ce livre est un hommage a la jeune disparut. Tout d’abords, j’ai choisi Oh! je fus comme fou dans le premier moment.

Car l’auteur parvient à nous communiqué le sentiment de tristesse qu’il la conduit aux limite de la folie. Nous remarquons que l’expression de la folie est représentée par la succession désordonnée de sentiments divers.

Nous pouvons observer que les cinq premiers vers expriment l’abattement, la tristesse, une quête pathétique de compassion.

Et dans le vers six, il laisse percer tout d’un coup une pulsion violente de mort ou d’automutilation. Cependant, les vers suivants sont reliés-séparés des vers précédents par un « puis » (v.7) expriment au contraire une volonté de réagir, une révolte, qui débouche sur un début d’une réflexion philosophique (v.10-11).

: Dieu a-t-il permis cette mort et dans ce cas il est un Dieu mauvais, ne l’a-t-il pas autorisée et dans ce cas Léopoldine est vivante ? Enfin, après un saut de ligne, il y a un passage du discours indirect au discours direct et de l’imparfait au présent.

Ce qui installe progressivement le locuteur dans la folie hallucinatoire. Cette impression d’ensemble produite par le mouvement du texte est celle d’un discours quelque peu désordonné consécutif au choc subi par le locuteur.

Ensuit, j’ai choisi Pendant que le marin, qui calcule et qui doute… .

Car l’auteur nous démontre que l’on a tous quelque chose à chercher.

Nous pouvons remarquer que toutes les personnes énoncés dans ce poème cherche leurs chemins ou autre chose mais grâce au ciel. Nous pouvons observer que le champ lexical du ciel, est exprimé de différente façon.

Dans les deux premier vers le marin cherche son chemin grâce aux constellations.

Puis dans le vers deux et trois le berger cherche son chemin dans les étoiles.

Ensuite pour l’astronome l’auteur utilise une métaphore en caractérisant l’espace comme les millions de lieues.

Puis enfin nous pouvons déduire que Victor Hugo cherche sa fille disparut dans le ciel. Lorsque l’auteur par de ce qu’il cherche nous remarquons qu’il fait référence au paradis : On ne peut distinguer, la nuit, les robes bleues Des anges frissonnants qui glissent dans l'azur.

(v.9-10).L’impression rendu par ce poème est mélancolique voir majestueuse. Enfin, j’ai choisi Demain , dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne .

Car dans ce poème Victor Hugo montre avec beaucoup d'émotions et de sentiment tout son amour pour sa fille morte quatre ans auparavant.

Nous pouvons constater que l'ambiance générale du poème est la tristesse qui est remarquable aux chams lexical de la tristesse : "triste", "seul", ainsi que le cadre spatial de la nature: "forêt", "campagne" et le cadre temporel "nuit", "soir" donnent une impression de solitude. La relation affective avec sa fille apparaît dans l'interpellation du vers deux « Vois-tu, je (...) » le rapprochement je/tu, souligne la certitude du « rendez-vous » et de la douleur de la séparation.

Le repli sur soi est exprimé avec des gestes «le dos courbé, les mains croisées » montre un comportement soucieux.

Ce poème élégiaque met en relief l'immortalisation de Léopoldine, grâce au derniers vers, et par les deux symboles qui ornent sa tombe (le houx vert et la bruyère en fleur).

Grâce à la pointe du poème nous remarquons que Victor Hugo se rassure en permettant à Léopoldine d'échapper au temps.. »