Devoir de Philosophie

Princesse de cleves.

Publié le 03/11/2015

Extrait du document

Entre raison et sentiments : héroïne classique I- Les 1ères impressions Culpabilité, compassion, désespoir, dilemme, un choix raison ou passion, détresse, moraliste (comment arriver au bonheur). II- Les grilles Genre  C’est l’explicit du roman «  La Princesse de Clèves » de Mme de la Fayette   Discours Narratif : On raconte, ici, le dénouement du roman. Ce sont des paroles rapportées du roman (discours indirect). Registre Tragique : Le personnage est tiraillé entre l’amour (illégitime) et la raison, c’est un dilemme insoluble (elle est contrainte à des choix nécessairement douloureux). Les protagonistes essayent de lutter contre cette fatalité : la passion. On remarque que la Princesse de Clèves cède à la raison contrairement au Duc de Nemours qui suit sa passion. Pathétique (pathein « souffrir ») : On remarque un peu de pathétique dans cet excipit de roman, avec le champ lexical de la souffrance, de la mort : « sa maladie » (l.4) « expire la douleur » (l.31) « accablé de douleur » (l.35), « mort » (l.9). Par exemple ligne 30 et 31. Il fait éprouver au lecteur de la pitié pour les personnages Epique : On retrouve dans ce texte des héros surhumains confrontés à des obstacles colossaux. Cette guerre inégale entre la raison et la passion montre que la princesse de Clèves force la raison alors que le Duc choisit la passion. Le Duc de Nemours est présenté ici comme une menace pour la princesse ; en effet c’est lui qui est la source de son combat intense, extrême. Mme de la Fayette utilise des procédés d’exagération ; « un assez grand combat » (l.7), « fortement » (l.10) « considérablement » (l.12), les superlatifs : « la plus naturelle, la plus fondée » ( l.37). On peut aussi souligner le lexique de la guerre, de la lutte « combat » (l.7), « se défendre » (l.8). On retrouve aussi un débat interne (dans le cœur de la Princesse) et externe (entre cette amour du duc de Nemours et elle). Sensations  Les tentations sont plus fortes dès lors que le regard de la princesse se porte sur le duc. Toutes les sensations tournent autour de la vue. La princesse s’en prive délibérément afin de les stopper et les mettre de côté. Elle ne veut pas laisser ses sentiments s’exprimer et cherche « toutes les raisons » (l.5) pour ne pas succomber et l’épouser. Il y a une absence de sensations directes, il reste seulement de la sensation visuelle. Sentiments  Le sentiment de l’amour passionnel peut s’éteindre ou décroitre avec le temps (l.39) Remords, culpabilité, une certaine amertume de la Princesse de Clèves. Les sentiments ne meurent pas mais finissent par se subordonner à la raison. On remarque 2 parallèles dans ce texte, temps et passion / et raison et passion. Langage  Le vocabulaire que Mme de La Fayette utilise est plutôt simple, très épuré pour exprimer des sentiments essentiels (classicisme). Elle raconte un thème classique c’est-à-dire le paradoxe entre passion ravageuse et la raison. IV- Le plan et mouvement du texte I- Un combat intérieur de la princesse (l.1-16) : C’est un sommaire : la durée de la narration est nettement plus courte que la durée de l’histoire : c’est un résumé de l’histoire (rythme rapide). La notion de temps est soulignée par la présence des hyperboles : « si longue » (l.1) « si prochaine » (l.1), « fit une habitude » (l.4) Le temps entre la vie et la mort (l.1-4) Dans ce paragraphe, la mort, la maladie, le désespoir dont développés « mort » (l.1) « mourir » (l.3), « santé »...

« Remords, culpabilité, une certaine amertume de la Princesse de Clèves.

Les sentiments ne meurent pas mais finissent par se subordonner à la raison.

On remarque 2 parallèles dans ce texte, temps et passion / et raison et passion. Langage Le vocabulaire que Mme de La Fayette utilise est plutôt simple, très épuré pour exprimer des sentiments essentiels (classicisme).

Elle raconte un thème classique c’est-à-dire le paradoxe entre passion ravageuse et la raison.

IV- Le plan et mouvement du texte I- Un combat intérieur de la princesse (l.1-16) : C’est un sommaire : la durée de la narration est nettement plus courte que la durée de l’histoire : c’est un résumé de l’histoire (rythme rapide).

La notion de temps est soulignée par la présence des hyperboles : « si longue » (l.1) « si prochaine » (l.1), « fit une habitude » (l.4) A) Le temps entre la vie et la mort (l.1-4) Dans ce paragraphe, la mort, la maladie, le désespoir dont développés « mort » (l.1) « mourir » (l.3), « santé » (l.2), « maladie fit une habitude » (l.4), « vie » (l.2). B) Le combat : dilemme entre devoir et amour / raison et passion (l.5-7) Mme de La Fayette révèle que la Princesse de Clèves est tiraillée entre sa passion « qui n’était pas effacé de son cœur » (l.5) et la sagesse en cherchant « toutes les raisons » pour ne « pas l’épouser » (l .6).

Elle avoue que c’est un « grand combat » (l.7) interne qui s’engage en elle-même.

C) Le résultat : la raison, la vertu Son devoir prend le dessus mais ses pensées se tournent toujours vers Monsieur de Clèves.

Sa raison domine et elle parle de « résolutions sages » (l.13).

Afin d’oublier tous ses souvenirs et sa culpabilité, elle décide de se consacrer à Dieu et d’entrer « dans une maison religieuse » (l.16) II- Combat externe entre la princesse et le duc (l.17-38) L’action est quasiment en temps réel : c’est la scène, les paroles rapportées ralentissent la vitesse de la narration.

A) Introduction des pensées du Duc de Nemours (l.17-18) : SOMMAIRE Le duc n’a plus beaucoup d’espoir d’épouser la princesse car il prend conscience de sa retraite. B) Le passage à l’acte (l.19-22) : SOMMAIRE. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles