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redaction realiste

Publié le 06/01/2013

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UNE DISPARITION Nous sommes le jeudi 8 novembre, dans un petit village paisible des Pyrenées Oriental nommé Verneil les bains.Ce cvillage et reputé pour ca beauté et c'est eau termale ainsi que par les randonneur pour ca proximité du canigou . il est 2 H 30 de l'après-midi dans la caserne des pelletons de gendarmerie de haute montagne (pghm) , tout est calme , les gendarme font leur exercice physique et le lieutenant , et dans sont bureaux entrain de remplir le rapport de la mission précédente , la journée suis sont cours habituel avec qu'elle que petit services a effectué ,mais rien de grave quand soudain , le telephone sonne , ce sont les secours de catalogne-sud qui on était appelé par un couple de randonneur , qu'il leurs on signalé 2 perssonne en difficulté dans le coté du canigou . Le lieutenant appuya sur le bouton d'urgence pour apellé tout le monde dans la salle de réunion , une grande agitation dans la caserne ce créa . Le lieutenant informa , les gendarme de la situation : -J'ai les secours de Catalogne-Sud qui m'indique la présence possible d'un couple de randonneurs en difficulté, sur le massif est du Canigou je vous mets en relation avec eux pour plus d'information. - d'accords chefs - sergent batiste ? - oui chef ? - vous ete le gerant de mission ? - bien chef le sergent batiste ce mit immédiatement au travaille , il appelle les témoin du fait : -Allô, ici le sergent batiste , je vous appelle pour avoir plus de presision sur votre prestation des randonneurs en difficulté -je l'ai est vu dans le courant de l'après-midi vers 2 h, ils était comme fatigués et pas assez équipés pour passer une nuit dehors avec ce temps<...

« -oui oui voila c'est sa , mais nous nous avont fait demi tours , car elle était beaucoup trop dure pour des gens comme nous - et les autre on il ont continué ? - il me semble oui, il pensait qu'il en était a la moiter ,il nous en demander des renseignement sur le balisage car il n'avait pas de carte , et la femme boité il me semble - merci beaucoup madame vaut renseignement nous seront d'un grande utilité Le sergent , fait un recaputilatif au pghm , et créa des equipe a , b , c qui irons a différent endroit du canigou quand il leurs indiquera Le sergent commenca par faire établir un perimettre de recherche tout autours du refuge de marailles , il envoya une equipe interogais les randonneur , mais toujours aucun signe de vit après 1 h de recherche et il lui faut vite les retrouvé car le temps ce dégrade de plus en plus et cela ne va pas lui facilité les recherche ;de plus le canigou est une vaste montagne ces pics, hauts et acérés, sont recouverts de rocs anguleux et peuvent etre très glissant en raison d'une pressence de verglat , le sergent commence a inimagin é le pire mes dans ce metier tout est possible il faut garder son sang froid et précecuté les recherche , la nuit approche et vu le témoignage du couple les randonneur ne sont pas équipée pour dormir dehors , surent mal vêtu possèdent une simple polaire et un pantalon en toile ceci arrivent souvent la plus part des randonneur ne sont pas souvent assez prévisible et dans la montagne les nuit son fraîche pouvant atteindre -6 Degrés même au printemps.

de plus recherhcer un personne la nuit en montagne et beaucoup plus dure pour le sergent .

Il faut donc qu'il soit stratégique et ordonné pour ne pas oublier un seule endroit ou les randonneur pourai etre et surtout rapide pour leurs evité de passer un nuit dehors .Le sergent reflechit un moment et ordonna a une équipe de police de monter vérifier au refuge des argao pour verfier si il n'avait pas simplement fait un escale y dormir ; une autre équipe de police de desendre a l'abay de saint martin du casteil et a une autre equipe , de monter au pic en hélicoptère .

Lorsque la premier équipe arriva au refuge elle interoga le propriétaire en leur montrant la photo que la famille des randonneur avant envoyé , le proprio , un homme grand , affirma qu'il les avait vu passer et s'arrêter a sont refuge puis qu'il étaient reparti au bout de quelque minute et il rajouta que la femme avait l'air d'avoir mal a la cheville.

Le policier de l'equipe apella donc sont sergent et lui affirma qu'il s’était bien passé par leur refuge mais qu'il n’était pas sur lieu et qu'il avait surment continuer leur marche.

la troupe de policier monter au pic , apella le sergent : -ici gb nous somme a 2 784 mettre d'altitude a la hauteur du pic RAS il n'y a aucun randonneur -bien reçu , redecander la montagne en suivant le chemin que je vais vous indiquez , peut être qu'il on pris le chemin pour descendre au pic offre et ensuite il se sont aretter pour dormir au refuge de cortalet , il y a moin d'heur de marche en dessandant de se coté -ok chef. »

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