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Redaction sur la deuxieme guerre mondiale

Publié le 09/10/2021

Extrait du document

?Le soldat se leva et observa depuis le haut de la tranchée le champ de bataille. Entre sa tranchée et la tranchée des adversaires, le sol était mouillé et asymétriques dû au creux provoqué par les bombardements aériens. Des abeilles partaient dans tous les sens et des fois piquaient des soldats. Lorsqu?une abeille piquait un soldat, un homme venaient en courant et l?examinait pour voir s'il avait une chance de survivre. Quelques soldats mangeaient, d?autres écoutaient les ordres du commandant, ? Lorsque le commandant vit le soldat sans arme à la main qui avait l?air perdu, il lui dit : Et toi, là, qu?est-ce que tu fais à rêvasser ! Viens vers moi ! Le soldat courut, mit sa main tendue contre son front, contracta son dos et attendit des ordres. Va à gauche jusqu?au bout de la tranchée. Quelqu?un t?attendra et il t?emmènera à quelque part ou tu seras plus utile ! Oui Chef ! répondit le soldat. Le soldat se dirigea vers la gauche et marcha. Il marcha pendant plusieurs metres lorsque soudain, une bombe tomba devant lui. Son champ de vision devint flou, il n?entendait plus rien et n?avait plus d?équilibre. Il tomba au sol et...

« Marcel prit son fusil, quelques minutions et plusieurs grenades et partit avec David vers la droite.

David était un grand homme aux cheveux blonds frissés et au yeux bleu ciel.

Il avait un corps d’athlète et une tête d’enfant.

Il portait un pantalon déchiré probablement par des barbelés et une veste militaires terreuses.

Il avait une posture de leader et regardait toujours tout avec une attention particulière.

Ils marchèrent pendant plusieurs minutes dans cet environnement naturel et sauvage dans le plus grand des silences lorsque soudain, les fantassins entendirent au loin des voix.

David sortit ses jumelles et photocopia son champ de vision.

Il se retourna et chuchota : - Ils sont 9.

2 sont en train de manger, 3 sont en train de discuter autour d’un char d’assaut et 4 sont en train de nettoyer leurs fusils.

Positionner vous et quand je cris feux vous tirez sur tous ce qui bougent. Ils approuvèrent avec un pouce en l’air et s’allongèrent dans la terre boueusse.

Marcel plaça la crosse de son fusil contre son épaule, se prépara à tirer et observa les allemands.

Tout à coup, il se demanda pourquoi il devrait tuer ses innocents qui sont comme lui.

Il se dit que peu etre qu’eux aussi ne souhaite pas totu cette violence inutile et reverai d’un monde sans guerre.

Peut etre que... - Feuuuu!! cria David. Marcel prit une gigantesque respiration, expira e tira à contre-cœur.

Les trois Français tirèrent sur tous les soldats et ils tombèrent tous dans une mare de sang pourpe.

Marcel et David se serrèrent la main et Yann cria à la victoire.

Pendant ce temps, le char s’alluma, le moteur gronda et le canon pointa les fantassins. - Courez ! Cria Yann qui avait vu le char bouger. Le char tira et Marcel tomba par terre.

La poussière provoquée par l’explosion l’empêchait de voir et le cadavre de David l’empêchait de bouger.

Sa jambe le faisait atrocement mal et il se sentait comme dans une centrifugeuse.

Le sang chaud de David coulait le long du visage de Marcel et son crâne roulait le long du sol.

Le cadavre de Yann tomba au sol et resta immobile et sans habitants.

Trois soldats allemands arrivèrent de la forêt et félicitèrent le char pour son exploit.

Un allemand cria au conducteur du char : - Los, Hans ! Überroll diese französischen Bastarde. Marcel ne comprenait pas l’allemand mais lorsqu’il vit le char redémarrer et se diriger vers lui.

Il comprit que sa fin était proche.

Il ferma les yeux, se mordit les lèvres et chuchota : - Pour la France.. »

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