Séance 6 La nécessité des émotions amoureuses Etude du sonnets XIV
Publié le 10/12/2023
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Français
Liste des œuvres :
Pauline : A.
Dumas
Le silence : N.
Sarraute
Phèdre : racine
Art : Yasmina Reza
L’étranger : camus
Contes du jour et de la nuit : Maupassant
Séance 6 La nécessité des émotions
amoureuses
Etude du sonnets XIV
Exercice : notes de bas de pages
1)
1er quatrain :
Tant que je pourrais pleurer en repensent au temps passé
avec toi, et tant que je pourrais résister au sanglot pour
faire entendre ma voix.
2)
2nd quatrain :
Tant que je pourrais chantais tes bautes et que mon esprit
ne s’intéressera qu’à toi.
3)
1er tercet :
Je ne souhaite pas encore mourir est quand je sentirais
que je ne peux plus pleurer que je pourrais plus chantais
et que je ne pourrais plus jouait de la musique.
4)
2nd tercet :
Et quand mon esprit ne pourra plus montre signe d’amour
je choisirai de mourir.
Problématique : Comment la poétesse exprime-t-elle la
nécessite des émotions amoureuses ?
En montrant que l’absence d’amour est liée à la mort.
En montrant tous ce qu’elle peut faire pour chantais les
beautés de l’être aimer.
Exercice 2 : rédiger la fin d’introduction
Le sonnet XIV est construit de façon singulière : la poétesse
évoque tout ce qui fait qu’elle ne souhaite pas encore mourir,
et c’est le fait de chanter son amour qui l’anime.
On pourra
se demander comment la poétesse exprime la nécessite de
ses émotions amoureuses.
Dans une première partie on
verra jusqu’à quel point l’amante est prête à chanter les
grâces de l’être aimé.
De plus le poème se termine sur une
antithèse entre le verbe noircir et l’adjectif clair.
Il s’agit pour
la poétesse de montre qu’un jour sans amour ne vaut pas la
Paine d’être vécu.
Enfin on note la disparition des prénoms des deuxième
personnes dans les derniers tercets.
La poétesse ne peut
plus (montre signe d’amantes) vers 13.
Elle est donc seul
avec sa main impuissante (vers 11)
Conclusion : des émotions amoureuses quel soit heureuse
ou mal heureuse fondent l’essentiel de la vie, si la poétesse
ne peut plus chantais ou pleurais elle préfère mourir : ces
émotions diverses sont la vie.
Séance 7 : La vérité adressée aux femmes – sonnet
24
Présentation du sonnet :
Problématique : comment la poétesse revient -elle sur sa
souffrance pour délivrer un message ?
1)
2)
L’expression d’une douleur personnelle
Un message délivré aux femmes
Dans le sonnet de clôture Louise Labé appelle à la clémence est
revient sur les souffrances qu’elle a vécues.
On pourra se
demander comment la poétesse revient sur sa souffrance pour
délivre un message a ses lectrices.
Dans une première partie
on étudiera l’expression de sa souffrance personnelle, dans une
deuxième partie on verra quel message elle délivre aux
femmes.
Point méthode : développement
Dans le développement chaque idée doit être mise en forme en
trois temps :
- Argument
- Citation
- Commentaire de citation
Introduction à la lecture de Marceline
Desbordes – Valmore
1)
Le recueille : les Pleurs 1833
Un recueille écrit entre 1826 et 1833
Thermes récurent : Petite enfance, pensé religieuses,
chanson, les pleurs.
2)
Production poétique
Elle a une production poétique abondantes, elle publie dans
des revues elle publie également des nouvelles et des
comptes pour enfants.
Dès les années 1820 elle est connue car c’est poème sont
souvent mis en musique, sa musique a beaucoup circuler.
En 1830, elle est au sommet de sa gloire poétique.
Elle vient d’un milieu d’artisan, elle a aussi fait ses début dans
le théâtre a 11 ans et elle mène sa carrière au théâtre j’jusqu’ à
ses 36 ans.
Sa formation consiste a reciter de grand texte classique en tant
que comédienne
3)
La chanson
Desbordes Valmore était comédien mais aussi chanteuses
L’écriture poétique est née du désire de retranscrire un rythme
intérieur
Plusieurs éléments font le lien entre poésie et musique dans
son recueil
Recours aux pentasyllabes et un vers de cinq syllabes et très
utilises dans les chansonniers, présence fréquente de refrain
dans ses poèmes
4)
Notre dame des Pleurs
Marceline Desbordes Valmore a une vie marque par les douilles
Elle perd 3 enfants dont 2 en rédigeant les Pleurs, elle a une
relation avec Henri Latouche qui va beaucoup la marquer
Exercices
1) Comment est structurer le recueille des pleurs ?
2) Comment la poétesse est-elle connu dans les années
1820 ?
3) En quoi consiste sa formation ?
4) En quoi ses poèmes se reproche-t-il de la chanson ?
5) Pourquoi est-elle surnommée notre dame des Pleurs ?
1)
Histoire littéraire : le lyrisme
Les lyrismes de Marceline Desbordes Valmore sont en lien avec
la mélancoliques romantique, le recueille apparait en 1933 en
plein apogée du romantisme
Hugo publie les feuilles d’automne, Lamartine Harmonies
poétiques (1830)
Il y a plusieurs caractéristiques romantiques dans la poésie
Desbordes Valmore
-
La mélancolie
L’importance sur le religieux et le spirituelles
Usages importants de l’image et de la métaphore
La phrase déborde le vers aves des enjambements et des
rejets
Point d’histoire littéraire
Le romantisme développe une poésie lyrics, le romantique
s’éloigne de la conception classique de la poésie, ne cherche
plus à maitriser la versification.
Correction de l’évaluation 2 sur Louise Labé
- Compréhension : les souffrances de la poétesse sont
passées, elle s’offre un moment de tranquillité ou la
douleur n’est plus présente.
- Méthode : dans les commentaires de citation il ne faut pas
seulement reformuler mais analyser des faits d’écriture
(qui concerne la ponctuation, la valeur d’un temps, les
figures de style etc…).
On ne commence jamais un
paragraphe par un lien logique.
On énonce l’idée principale
du paragraphe.
- Expression : on souligne les titres des œuvres, on rédige
les analyses au présent.
Orthographe : apaisementquatrain- tercet- champ lexical.
Introduction :
Louise Labé, implantée dans la ville de Lyon, publie les
œuvres de Louise Labé lyonnaise en 1555.
Dans le sonnet IX
de son recueil, la poétesse s’offre un moment de pause dans
sa souffrance amoureuse, grâce au rêve.
On pourra se
demander comment la poétesse exprime l’apaisement.
Dans
une première partie, on verra comment se caractérisé ce
moment de repos.
Dans une deuxième partie, on analysera
le doux mensonge dans lequel la poétesse se réfugie.
Le moment de repos que s’offre la
poétesse se caractérise par un moment « désiré », attendu.
On note le champ lexical de la tranquillité : « le repos
désiré » (V.2) ; « plaisant repos plein de tranquillité »
(V.10).
ces mots renforce la sensation d’apaisement dans
laquelle s’immerge.
De plus ce repos donne aussi accès a un
bonheur intense, comme le montre l’emploi des apostrophes
du vers 9 : « ô doux sommeil, ô nuit à moi heureuse ».
la
répétition des apostrophes et du types exclamatifs concentré
en un seul vers donner cet effet d’intensité dans le bonheur
ressenti.
Ainsi, le repos donne lieu à une forme de sérénité
propice au bonheur.
La poétesse se réfugie dans un doux
mensonge.
En effet elle présente se rêve comme une trêve
dans ses douleurs.
On note a se sujet le champ lexical de la
tristesse : « mon triste esprit » (V.2) ; « que de sanglots »
(V.8)
Ainsi, la poétesse s’offre dans le sonnet IX un moment de
repos propice à la sérénité, grâce au rêve.
Consciente que ce
n’est qu’une illusion, elle choisit de s’y conforter un moment.
Séquence 2 : un narrateur qui attire les soupçons
groupement autour du roman de l’Abbé Prevost, histoire
d’une grecque moderne,1740
Objet d’étude : le roman
Problématique : pourquoi le lecteur peut-il de méfier du
narrateur de l’histoire d’une grecque moderne ?
Corpus : extrait choisis tirés du roman
Lecture cursive : Pauline A.
Dumas
Séance 1 : une entrée atypique dans le roman mémoire
Exercice : vous écrivez le début d’un roman mémoire, vous
inventez un narrateur qui promet au lecteur qu’il va dire toute
la vérité sur ce qu’il va raconter.
Je m’adresse à toi cher lecteur, pour te dire que j’entame une démarche
s’insère.
En effet, je n’ai aucun intérêt à modifier un tant soit peu l’histoire
que je m’apprête a développé ici : au contraire, c’est la vérité que je
cherche, et je vais tenter de m’en approcher le plus possible.
Je n’ai
qu’une parole, cher lecteur, et tu peux donc croire à l’authenticité du récit
que tu t’apprête à lire.
Dans les mémoires l’engagement de l’auteur vis-à-vis du lecteur à
dire la vérité s’appelle un pacte de lecture.
Il oriente la lecture de
ceux qui va suivre en la plaçant sous le signe de la confiance.
Le pacte de lecture qui ouvre le roman histoire d’une grecque moderne est
atypique puisque, le narrateur invite le lecteur à se méfier de ses écrits.
Il
le met en garde quel fidélité attendra-t-on d’une plume conduite par
l’amour ?
Dans le deuxième paragraphe le narrateur modifier le pacte de lecture, en
effet il écrit « l’amour n’a jamais eu pour moi que des rigueurs ».
En
conséquence....
»
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