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«Son roman là ou je me terre» de Caroline Dawson

Publié le 12/11/2021

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L’immigration existe depuis des siècles. Plusieurs personnes se sont retrouvées à être loin de leur terre d’origine par par manque de choix ou souvent à la recherche d’un avenir meilleur ou pour fuir les conflits politique, économique ou social. De nos jours de plus en plus de pays sont considéré comme des pays d’immigrations. Le Canada qui est considéré comme un pays d’immigration à la sa diversité ethnoculturelle. Caroline Dawson est une écrivaine sociologue et professeur née en 1979 en Chili. Dans son œuvre là où je me terre elle retrace son enfance lorsqu’elle et sa famille ont été contraint de quitter leur pays d’origine, la Chili par suite de la guerre qui a déstabilisé le pays. «Son roman là ou je me terre», paru le 16 novembre 2020, l’auteur évoque le problème des classes sociaux, des difficultés que rencontre les nouveaux arrivant dans les pays d’accueil mais aussi des sujets qui touche la société tel que le racisme, la socialisation du genre et aussi de la politique. D’une part, l’auteur explique leur retour à la case départ par rapport à leur exil. « Ils m’ont annoncé que dans quelques jours nous quitterions le pays pour nous refugier au Canada. » (p. 12). Le sentiment d’avoir une partie de soie se vider, de tout laisser derrière soi et devoir faire le deuil de son passé pour recommencer une nouvelle vie loin de sa terre, sa famille et même de ses amis. Elle fait vivre cette sensation par le biais de son livre.

« Ainsi, dans le livre l’auteur dénonce les d iscriminations concernant le travail, la santé et la sécurité sociale.

« Mes parents travaillaient dans l’anonymat, à l’abri des regards.

À la fermeture des bureaux, quand il fait noir, quand c’est le silence.

» (p.

70).

L’auteur fait une comparaison sur leur condition de vie qu’ils avaient auparavant dans son pays natal par rapport à leur niveau de vie au Québec.

Comme lorsqu’elle dit que son père occupait une place importante et sa mère qui était éducatrice.

En effet, c’est frustrant d e se retrouver à faire des petits jobs de gauche à droite moins payant pour pouvoir joindre les deux bouts justes parce qu’on est étrangers.

En outre, on constate une forte i négalité entre les classes sociales que les nouveaux arrivant subissent la plupart du temps comme les formes de discriminations lorsqu’on favorise un groupe de personnes par rapport à d’autre juste parce qu’on est des étrangers.

« Mes parents travaillaient dans l’anonymat, à l’abri des regards.

À la fermeture des bureaux, quand il fait noir, quand c’est le silence.

» (p.

70) A cet effet, on peut aborder également le terme du racisme qui est un sujet beaucoup présent dans le texte.

« Payé sous la table par les gens tout à fait respectables, ma mère ne bénéficiait d’aucun avantage social….

elle se retrouvait le bec à l’eau, en congé forcé sans solde.

» (p.136).

On voit que les riches et les pauvres n’ont pas les mêmes manières de vivre.

Le fait de laisser ses corvées se faire par une autre femme.

Les pauvres se retrouvent toujours à faire le sale boulot.

Ils sont privés de plusieurs avantages et leurs droits sont bafoués. Dans le livre l’auteur aborde beaucoup les injustices sociales dont on peut faire face.

Par rapport à la socialisation du genre : « Alors pour moi, tu vois, être féministe, c’était pas une question, c’était juste évident.

» Caroline Dawnson montre que chacun peut avoir sa propre définition personnelle du féminisme.

Et que la plupart du temps les gens utilisent ses causes pour leurs propres intérêts.

L’auteur parle aussi de capitalisme dans les sociétés.

Les pauvres vivent dans la précarité pendant que les plus aisés vivent dans des quartiers plus huppés.

La différence de niveau de vie conditions de vie.

En somme, on peut dire que Carolyne Dawnson dans son livre retrace non seulement de son leurs vécus en tant que nouveau arrivant.

Le fait de laisser tout derrière sois et de reprendre à zéro au Canada mais aussi de toute les formes inégalité dans les sociétés d’aujourd’hui.

L’auteur touche raconte sa vie d’immigrante, la precarité dans laquelle la classe moyenne vit contrairement aux riches insouciants qui vivent dans le confort.. »

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