Sujet d'invention

« Macquart alcooliques ou à petite vertu.

De plus, Georges Duroy dans "Bel- Ami" de Guy de Maupassant, est quelqu'un de très médiocre, plein de défauts, aux manières douteuses (son ascension est due à des combines telles que le mariage, puis le divorce, l’adultère et bien évidemment l’hypocrisie) .

Toutefois ils sont utiles dans l’histoire, ils aident souvent les personnages principaux ou alors les condamnent, comme dans les Ensuite, le personnage sans morale crée un certain plaisir de lecture.

En effet, il rend le roman plus intéressant car il crée l'action; grâce à son imprévisibilité, il agit sans se soucier de l'avis des autres, et fait donc des mauvais choix, intéressants,qui affectent le reste de l'histoire.

De plus, ce personnage permet aux lecteurs de ressentir de fortes émotions, tout à fait différentes comme de l’admiration ou même de la haine Ensuite, l'identification au personnage est facilitée.

On entre dans l'intrigue avec rapidité, et on y voit le reflet partiel de notre âme.

Par exemple, Bardamu dans " Voyage au bout de la Nuit" de Louis-Ferdinand Céline est victime de la guerre ou encore Jean Valjean dans "Les Misérables" de Victor Hugo est victime d'une injustice écrasante ce qui nous fait éprouver des sentiments de pitié, de compassion, les personnages sont broyés par leur destin, malgré leur envie d’être détachés de celui-ci.

Toutefois, dans Bel-Ami, l’identification est impossible.

Georges Duroy, “héros” du roman de Guy de Maupassant possède de trop nombreux défauts.

On épouvre de la haine envers ce personnage, qui fait preuve d'une affreuse et immorale manipulation, se servant des autres et plus particulièrement des femmes comme simples instruments de son ascension sociale). Finalement, l’auteur utilise ce personnage car il peut implicitement critiquer la société.

Le personnage sans morale n'est pas hypocrite.

Il ne se soucie jamais de l'avis extérieur, il dit donc la vérité en totalité.

Il peut dénoncer des injustices, comme Jean Valjean dans "Les Misérables" de Victor Hugo où il dénonce des injustices inhumaines, des horreurs, telles que celles de Bardamu dans " Voyage au bout de la Nuit" de Louis-Ferdinand Céline où le héros dénonce la barbarie de la guerre, absurdité de l'existence humaine, ou encore la corruption.

En effet, dans les romans de Honoré de Balzac, le “héros” Eugène de Rastignac dénonce un monde où tout s'achète ) en étant très objectif, contrairement à un vrai héros, qui doit souvent se préoccuper de. »