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sujet d'invention

Publié le 13/05/2014

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Le Lupus-anguis (loup-serpent) Je suis jeune, courageuse, je n'ai peur de rien, et je suis curieuse (mais comme l'on dit la curiosité est un vilain défaut) me promener dans les recoins les plus sombres de la forêt et les endroits interdit n'est qu'un jeu pour moi. Mes parents m'ont bien interdit au moins deux-cent-cinquante fois de ne pas me promener dans des endroits dangereux comme celui-ci mais je n'en fais qu'a ma tête. Pourtant des fois je me dis que j'aurais mieux fais de les écouter, ma petite soeur et mon père serais encore la et ma mère n'aurai pas perdu son bras droit. C'étais un jeudi je crois je venais sortais du lycée. Ma meilleure amie et moi se promenions un peu partout et je passai devant un grillage où il y avait un panneau avec marquer dessus dangereux derrière ce trouvais un foret que je n'avais jamais remarqué jusqu'à se jour. Je fis un regard qui voulais tous dire a Maria mais elle me répondit en fronçant les sourcils, se qui voulais dire que évidemment elle n'était pas d'accord pour m'accompagner. Donc je me décidai alors a escalader le grillage seul. Une fois derrière le grillage Maria me supplia de revenir sur mes pas mes comme je persistai, elle se décida finalement a me rejoindre. Nous avancions peu a peu dans la sombre foret quand soudainement nous entendions un cri ma meilleure amie commença à s'inquiéter, elle me suppliait de rentrer mais moi je ne voulais pas, puis elle se mit a s'effondrais en larme tant elle était inquiète. Pour qu'elle cesse de pleurer, je l'ai pris dans mes bras puis nous nous mettions à courir jusqu'au grillage. Je l'a raccompagnai jusqu'à chez elle. Je rentrais chez moi avec cette idée fixe dis retourné plus tard mais cette fois seule. Je rentrer chez moi ma mère et mon père étaient devant la porte a m'attendre et me demander se que j'avais pendant des heures, pourquoi je n'étais pas rentré après les cours et un tas d'autre questions, je leur seulement répondu d'un brève «  j'étais chez maria... » Mon père me retint le bras et me demanda de ne pas recommencer car ils savaient tous deux que je mentais et où j'allais. Je montais dans ma chambre pensant au cri que nous avions entendu dans la forêt je ne voulais pas que Maria soit plus effrayer que elle ne l'est déjà j'y retournerai, oui cela est certain, mais cette fois ci sans Maria. Je ne l'avais jamais vu dans un tel état. Sur ces dernière pensées je m'endormie. Le lendemain matin, à l'aube je me réveillai, fis mon sac et prépare toute mes affaires pour cette « balade » en forêt. Je descendis les escaliers a pas de souris en essayent de faire le moins de bruit ...

« Je montais dans ma chambre pensant au cri que nous avions entendu dans la forêt je ne voulais   pas que Maria soit plus effrayer que elle ne l’est d éjà j’y retournerai, oui cela est certain, mais   cette fois ci sans Maria. Je ne l’avais jamais vu dans un tel  état. Sur ces derni ère pens ées je   m’endormie. Le lendemain matin,  à l’aube je me r éveillai, fis mon sac et pr épare toute mes affaires pour   cette «   balade   » en for êt. Je descendis les escaliers a pas de souris en essayent de faire le moins   de bruit possible. J’escaladai le grillage une nouvelle fois et me dirigeais vers cette t énébreuse  foret, j’entendis un   bruit de brindille qui craque provenant de derri ère moi je me retournai a toute vitesse et   m’ écria   :  ­ Qui est la   ?... comme personne ne r épondis je continuer  à répliquer, je sais que il y a   quelqu’un montre toi j’ai une arme et je sais m’en servir, je n’h ésiterai pas   ! Je savais tr ès bien que je mentais mais je voulais voir qui  était la. C’est la que j’eu une petite   surprise, ma petite sœur m’avais suivis   ! ­ Qu’est ce que tu fais ici   ?! rentre  à la maison   ! lui ordonnais­je. ­ Je t’ai entendu sortir de la maison se matin, je voulais savoir ou tu allais et venir avec   mais je sais que tu m’aurais dis nan alors je t’ai suivit…  Avant qu’elle n’eu le temps de finir ce qu’elle avait  à me r épondre je lui r épondis   agressivement   : ­ Ah bah a ce que je vois tu es perspicace toi   !  évidement que je t’aurai dis non tu n’as pas   vu le panneau «   dangereux   » sur le grillage   ?! ca veux dire que on ne peut pas entre   parce que justement c’est dangereux ici   ! ­ Si je l’ai vu mais qu’es ce que tu fais ici toi aussi le panneau dangereux est autant pour   moi que toi   ! puis si je rentre  à la maison je dirai a papa et maman ou tu es   !. »

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