« Sur la route de Pompéi », texte pp. 18-21, depuis : « Le chemin de fer par lequel on va à Pompéi... » jusqu'à : «... sous un jour aveuglant» (lignes 70 à 117) - Théophile Gautier : Arria Marcella
Publié le 23/05/2011
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1. Voyage en corricolo Articulé selon deux grandes parties (première partie l. 70 à 91 : Sur la route de Pompéi ; deuxième partie l. 92 à 117 : L'arrivée des personnages), ce texte se présente tout d'abord comme une sorte de prospectus touristique, décrivant scrupuleusement la route suivie pour relier Naples à Pompéi (technique chère aux romantiques de cette génération, en particulier à Mérimée : cf. l'ouverture de Colomba). Les caractéristiques formelles concourent à donner au texte cet aspect publicitaire destiné à éveiller la curiosité du lecteur : — Utilisation des tournures impersonnelles et répétitions de structures récurrentes : « Le chemin de fer par lequel on va à Pompéi «, « Les villages que l'on traverse «, ou bien : « Quiconque a vu... « (l. 70, 80, 111-114).
Liens utiles
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