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Travail de recherche sur Au bon beurre de Jean Dutour

Publié le 22/07/2012

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10- Les rapports avec Léonie et les Poissonard n’étaient pas très bon. Les Poissonard étaient pétrifiés. Ils ignoraient la crainte et les scrupules car Léonie les fît douter d’eux en leur donnant un sentiment de faiblesse. Les Poissonard souffraient. 11- Charles-Hubert pendant la rencontre était assez remué. La membrane protectrice de son cœur était transpércé. Charles-Hubert suait, il était désespéré. Après la rencontre, il le haissait et traita l’homme de bourique. Il vivait l’abattement et la rage et aussi le sentiment que son cœur était tombé dans son ventre. Quatrième partie 1- Un jour, ils chassèrent Léonie. Charles-Hubert la mît a la porte et lui ferma la rau nez. Les deux crémiers redoutaient les réactions de la pratique de crémier. Le fait d’être crémier était dompté depuis longtemps et réduite a l’esclavage. Les Poissonard parlaient comme s’ils vivaient le marytr mais au contraire, ils vivaient bien.

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« dégradés : moues de mépris,haussements d'épaule,soupirs, grommellement, rien ne les animait.

Ils déraissonnaient tous les deux. 9- Quand ils l'ont attrapé a voler, ils lui ont dit qu'ils allaient appeler la police et Josette ne voulait pas donc, elle lui dit qu'elle leur donnait la moitié de son mois.

Ilsprirent cent-vingt cinq grammes de tickets sur sa carte.

Donc, ils prirent son argent donc, ils en tirèrent profit car elle n'avait presque rien volée. 10- Josette resta un an et demi a la crémerie et quitta par la suite. Troisième partie 1- Léon vivait a Lyon et pour vivre, il transportait des grenades et des pistolets 2- Léon écrivait en alexandrins.

Le vers libre lui semblait de la prose déguisée; il voulait vraiment devenir poète comme Chénier dont il voulait la mort tragique. 3- Léon aimait Madeleine parce qu'elle avait du charme.

Il l'aimait pour la belle image qu'il lui montrait de lui.

Il aimait être aimé par une intellectuelle diplômé etavait des conversations infinies pendant des heures. 4- Elle si mit a employé un langage puéril farci de dodo, lolo, guili-guili,dada et autres onomatopées.

Elle appelait son mari Lélé et disait des phrases comme : c'estmon Lélé?, comment vas-tu chou- chou, tu sais le petit fan-fan a bougé trois fois dans mon ven-ventre aujourd'hui? Etc.. 5- Son projet qui consiatait que s'il rentrait a l'agreg, il allait tuer Laval et, les manuels d'histoires l'appellerait Brutus français.

Il se procura un eustache, du poison etune arme a feu car il était affamé de gloire et de plus, c'était pour la France. 6- A Brutus et Alfred Devigny 7- Il s'est fait arrêté par quatre argousins coiffés de chapeaux mous quand il entrait dans l'hôtel du parc. 8- Quand il a apperĉut la cérémonie et aussi il lut l'article le miracle des poules et connut la Maréchal qu'il aimait beaucoup et cessa d'être antisémitisme. 9- Dans l'article tout se passe parfaitement comme les Poissonard l'auraient voulu mais dans la scène cela ne se passe pas aussi bien.

De plus, cela ne se passe pasparfaitement car il y a des petits malentendus et l'accident avec leur fils dans l'article semble parfait mais ce n'est pas le cas.

L'histoire est donc racontée différamentdans les deux cas. 10- Les rapports avec Léonie et les Poissonard n'étaient pas très bon.

Les Poissonard étaient pétrifiés.

Ils ignoraient la crainte et les scrupules car Léonie les fît douterd'eux en leur donnant un sentiment de faiblesse.

Les Poissonard souffraient. 11- Charles-Hubert pendant la rencontre était assez remué.

La membrane protectrice de son cœur était transpércé.

Charles-Hubert suait, il était désespéré.

Après larencontre, il le haissait et traita l'homme de bourique.

Il vivait l'abattement et la rage et aussi le sentiment que son cœur était tombé dans son ventre. Quatrième partie 1- Un jour, ils chassèrent Léonie.

Charles-Hubert la mît a la porte et lui ferma la rau nez.

Les deux crémiers redoutaient les réactions de la pratique de crémier.

Le faitd'être crémier était dompté depuis longtemps et réduite a l'esclavage.

Les Poissonard parlaient comme s'ils vivaient le marytr mais au contraire, ils vivaient bien. 2- Léon en prison pensa beaucoup a lui-même.

Il obtint un nouveau sentiment qui est l'orgeuil.

Il avait arrêté de se prendre pour quelqu'un d'autre.

Il voulait être lui-même : Il n'était plus un caméléon sentimental changeant a volonté mais Léon Lécuyer.

Il dit avoir vongt-huit ans et que sa jeunesse est finie.

Il se sentait vigoureux.Il comprit qu'il ne serait jamais Napoléon, Brutus ou Goethe mais lui-même.

Son futur constituait a être enseignant d'humanités a des potaches.

Donc, il s'acceptapour ce qu'il éatit et ne voulait plus être différent mais Léon simplement. 3- Alphonse un jour mangait de la soupe mais voulait plutôt mager du caviar, du homard etc..

Léon l'admirait mais trouvait que c'était inhumain de penser ainsi, Léontrouvait que son compagnon vait des principes raides.

Alphonse parlait beaucoup de politique, de prolétariat, motion, syndicat, lutte des classes et autres, qu'il luidonnait une allure de théoricien.

Léon se sentit inférieur mais l'admirait. 4- Leon pensait a Alphonse et réféchit a son sujet.

Le visage d'Alphonse était toukours le même et Léon se rendit compte qu'il était marqué.

Pour Léon, c'était lavivante représentation de l'homme broyé par le monde.

Léon lut une condamnation sur ces joues, ces cheveux et ces dents.

Une pensée le traversa comme un éclair :Alphonse est irréductible et le destin ne composera pas avec lui.

Cette idée le révoltait. 5- Selon l'auteur, l'avarice est de la joie que les gens ignorent de posséder de l'argent.

L'argent pour un avare procure un plaisir total.

L'avarice ne correspond passeulement a un besoin intellectuel de puissance.

Un vrai avare ne se contente pas de savoir qu'il peut acheter la plus belle voiture etc…car il dédaigne parce que soncarnet de chèque contient ces biens dont la possesion dépend de son autorisation.

Pour être heureux, l'avare doit avoir le contact des pièces d'or.

Son désir est de fairecouler ces petits disques entre ses doigts. 6- Charles-Hubert devint plus sensible et moins dur.

Hans lui parût comme un bon homme donc, il prit exemple sur lui.

Hans était étranger a la guerre et avait unejoie mélancolique.

Il dévoilait une âme candide et faible, ennemie de la violence et portée a s'attemdrir aux oiseaux et aux fleurs.

Il parraissait le membre le plusinofenssif de l'armée allemande.

Donc, Charles-Hubert devint plus positif dans ses approches politiques. 7- Charles-Hubert était plutôt homme d'action qu'homme de pensée et s'engagea dans le chemin de la résistance.

Un regard lui suffit pour jauger Hans.

La bonté dusoldat lui causa la mauvaise impression.

Il était incapable de respecter quelqu'un qui ne lui fesait pas peur.

Pour Charles-Hubert, la bonté lui inspire du dégout. 8- Hans ne visitait jamais ses amis Poissonard sans apporter des cadeaux pour tous.

Riri et Jeaninne lu inpiraient une grande affection.

Il leur donnait des sucreriestous le temps.

Les Poissonard acceptaient tout mais l'assiduité de Hans les gênait.

L'attitude des Poissonard était différente selon qu'il y avait ou non des témoins.Hans se fesait offrir a boire et l'attention éatit portée sur lui.

Par contre, les Poissonard se moquait de Hans sans qu'il ne le sache. 9- Malgré la panique immobilière qui durait depuis quatre ans, il proclamait quand même sa foi dans le terrain et le destin de la France.

Un jour, Hans entra dans lapièce et Charles-Hubert dû avoir deux minutes pour se ressaisir.

Hans ne voulait pas la guerre.

Pour démontrer qu'il était résistant, il enferma Hans dans la cave etferma la porte a la clé.

Il lui mit le fusil sur le ventre et envoya des hommes le battre. 10- Charles-Hubert pour montrer son patriotisme s'approcha de Hans qui était enchainé et lui déchargea un coup de pied dans les jambes en lui criant qu'il éatit unBoche.. »

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