un homme et son pêché

« Dans les années trente, les conditions économiques étaient difficiles.

Les gens n'eurent pas le choix de développer leur sens économique pour s'en sortir.

C'est dans ces conditions ardues que Claude-Henri Grignon publie Un homme et son péché en 1993.

Le ré cit d'un homme avare et des misères qu'il inflige à(préposition) sa femme.

On considère que la littérature du terroir apparaît en 1846 avec la parution du roman de Patrice Lacombe : La terre paternel (masculin).

Pendant près de cent ans, la majorité des écr ivains canadiens- français (oublie de ç) s'inscrivent dans ce courant inspiré des valeurs traditionnelles et encouragé par le clergé.

Dans leurs œuvre(singulier), ils vantent le travail de la terre, le temps passé, la religion et tous les (répétition) aspect s de la vie rurale.

Vers les années 1933 Claude-Henri Grignon publie Un homme et son péché.

Ce livre fait-il partit(3 pers singulier) du terroir québécois(pas de lettre majuscule) de l'anti -terroir? Suite à(préposition) ma première lecture, je suis porté à (préposition)dire qu'il fait partit(3pers singulier) de l'anti- terroir car je n'ai pas retrouvé les valeurs véhiculées par le terroir Tout d'abord, l'une des gra ndes(pluriel) vale urs(pluriel) du terroir est la famille dans le roman Un homme et son péché Séraphin dit à Donalda « Je n'aime pas les enfants, avait -il dit, avant de s'endormir.

» ainsi que « Dans une autre circonstance, il s'était livré : Tu sais, ma fille, que des enfants, ça finit par coûter cher.

»( à la page 27).

Cet extrait nous démontre que Séraphin ne veut pas d'enfants qu'il est égoïste(oublié ï) et ne pense qu'à son argent.

Par contre son cousin Alexis lui représente bien la valeur de la famille « Alexis était le seul cousin de Poudrier.« Père de huit enfants, c'était un paysan par at avisme, travaillant comme une bête..

» (p.52) De plus, dans le terroir la religion occupe une place importante.

« Les trois sacs d'avoine représentaient pour Séraphin le seul Dieu entre trois personnes.

» (p.35).

Cela nous démontre que le Dieu que chérit (3 pers singulier) celui -ci est l'argent.« C'est certain, comme la lumière de Dieu nous éclaire, qu'il n'y avait pas un homme dans le compté qui « valait*» plus que lui.

Lui, Séraphin Poudrier, petit cultivateur, petit prêteur de rien du tout, mais qui ten ait tout le monde dans sa main : monsieur le maire, monsieur le docteur, monsieur le député, tous des cultivateurs, depuis le plus gros jusqu'au plus petit.

Peu d'hommes mangeant et ayant besoin d'un gîte qui ne lui devaient de l'argent.

Il était le possesseur(oublié un s) et le maître.

Une joie profonde, sans limites, bleue comme un ciel de printemps, l'inondait.

» (p.59).

Séraphin se croit supérieur aux autres et a Dieu.

Par contre, pour Donalda il en soit autrement.

Lorsqu'elle tomba malade,(virgule ) à (préposition) elle demanda à(préposition) son mari d'aller chercher le docteur et de lui acheter un chap elet,(virgule) car elle avait perdu celui de son mariage.

De plus, lorsque sa maladie s'aggrave elle réclame le curé.

L'auteur valorise le travail de la terre « Allons-y pour trois cents(pluriel) dollars.

Je peux pas me tromper.

Et tant mieux, viande à chiens! Pas méchante, ma terre, meilleure que les années passées.

Elle engraisse, la bouhuienne*.

Elle engraisse.

Mais il faut la ménager pareil*.» (p.58).

Cet extrait nous démontre l'importance économique de l'agriculture .«Et le beurrier lui fit sur un morceau de carton le tableau(faute de frappe double t) des valeurs en gras payées a devers cultivateurs de la région - Vous voyez ben, ajouta-t -il vous êtes le premier, toujours le premier»(p.130) Séraphin reçoit(oublie de ç) de. »