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Victor Hugo dit «… Ton libérateur, c'est le livre. »

Publié le 23/07/2010

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INTRO : Pour commencer définissons les termes liberté et livre. Liberté provient du latin libertas qui signifie : situation d’une personne sous aucune dépendance à quelqu’un. Livre, lui, nous provient du latin liber qui signifie : pellicule entre le bois et l’écorce sur laquelle on écrivait autrefois et qui depuis, s’est développée pour former maintenant, un assemblage d’un nombre assez grand de pages.

                 L’expression « … Ton libérateur, c’est le livre. « est paradoxale, comment le livre peut-il nous apporter  la liberté ?

                 Dans un premier temps nous verrons que le livre est synonyme de liberté puis nous analyserons l’attitude qu’il faut avoir envers ces deux éléments.

 

Annonce du I) : D’après mon expérience personnelle, j’ai pu m’apercevoir que le livre nous affranchissez  de ce monde notamment grâce à des domaines tel que le savoir, le spirituel, les sentiments partagés avec l’écrivain et même au-delà, de nous identifier.

 

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« l'esprit critique peut établir un fossé social à l'encontre de la liberté qui voudrait, elle, que tous les hommes soientégaux.

De même un cas extrême nous est conté dans « L'année terrible » de Victor Hugo où un enfant analphabète a mis le feu à la bibliothèque. 2) C'est ce même esprit critique qui va nous amener à déceler la propagande et les idéologies des écrivains parfois porteuse se blasphèmes ou d'imprécations qui peuvent mener à des idées extrémistes donc encoreune fois à l'encontre de la liberté, car être libre c'est aussi respecter son prochain.

Certaines propagandes vontmême jusqu' à nous manipuler pour nous préparer à accepter l'inacceptable.

C'est le cas dans « Main Kampf » d'Hitler où dans son livre, il nous prépare à l'antisémitisme. 3) Certes le livre nous sert à nous évader mais il ne faut pas tomber dans le règne de l'illusion où la fuite dans l'imaginaire, qui peut être source de renfermement sur soi et sur les autres, mépris de lasociété et au lieu de nous libérer, nous emprisonne.

Jean Jacques Rousseau même, nous avoue dans « Les confessions » que la lecture l'a rendu « paresseux à faire, par trop d'ardeur à désirer ». 4) Enfin, dans certaines conditions extrêmes, où il s'agit de vivre au jour le jour sans chercher à comprendre, privé de liberté, le livre peut être source de handicap car il montre de nouveau une différence socialeentre les « incultes » et les « cultivés » énoncés dans « rescapé d'Auschwitz » de Prino Lévi qui au lieu de serésigner à son triste sort s'interroge sur son sort, échange la culture avec d'autres rescapés « cultivés ».

Conclusion : Ainsi le livre est une ouverture sur le monde, un moyen de nous libérer d'un quotidien trop ordinaire et banale, où d'une triste et sombre vie mais aussi de révolutionner une époque.

Bien que le livre soit un moyend'accéder à la liberté, il creuse toujours un fossé entre les différentes classes sociales et peut nous aliéner ou bienencore nous pousser à commettre et admettre l'inacceptable.

Comment peut on alors percevoir la liberté del'écrivain qui sommeille en nous ? Barème : Introduction : 2/2 Plan progressif et cohérent : 2/2 Intérêt du contenu : 4/4 Conclusion : 2/2 Expression : 6/6 Référence a des œuvres pour illustrer les arguments : 4/4. »

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