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Médecine: La tension artérielle

Publié le 22/02/2012

Extrait du document

Les troubles de la pression artérielle sont courants et représentent une cause importante de décès. Pourtant, une prise de tension régulière permet d'établir un diagnostic et d'éviter toute complication en traitant préventivement le malade. La pression artérielle ou tension varie suivant les individus, l'âge et les différents moments de la journée. La valeur moyenne pour un adulte est d'environ 12/08. Lorsqu'un individu se repose ou dort, sa pression artérielle baisse. À l'inverse, elle s'élève lorsqu'il fait des exercices ou qu'il traverse une période de stress. La pression du sang qui circule à travers nos artères est relativement facile à mesurer. D'ailleurs, le médecin détermine bien cette pression - la force du flux sanguin -, et non pas la tension artérielle, c'est-à-dire la force de résistance des artères que celles-ci opposent au flux sanguin pour ne pas se déformer. Dans le langage courant, on confond souvent ces deux notions. Pour mesurer la pression artérielle, le médecin utilise un tensiomètre, encore appelé sphygmomanomètre, qui se compose d'un brassard pneumatique relié à un manomètre. En gonflant le brassard, le médecin entraîne l'arrêt momentané de la circulation en comprimant le bras. Le pouls n'est alors plus perceptible. Puis il décomprime lentement le brassard tout en auscultant avec un stéthoscope sous le brassard pour entendre le retour de la circulation sanguine dans les artères. Dès les premiers battements perçus, le médecin note la pression (pression maximale ou systolique), puis continue à décompresser le brassard. Quand les battements disparaissent, il obtient la pression minimale (diastolique). La mesure de la tension artérielle s'effectue toujours au même endroit car le sang ne circule pas avec la même pression dans l'ensemble de notre corps. Au niveau des bras, les artères sont si importantes que la pression du sang présente la même valeur qu'au moment où le sang est expulsé du coeur. En revanche, lorsque le flux sanguin parcourt les artérioles (petites artères), il a perdu une partie importante de sa force. Le retour du sang vers le coeur par le système veineux s'effectue de manière plus paisible, car l'écoulement du sang est aidé par des muscles voisins.

« La Tension artérielle En France , les troubles de la pression artérielle sont courants et représentent une cause importante de décès.

Pourtant, une prise de tension régulière permet d'établir un diagnostic et d'éviter toute complication en traitant préventivement le malade.

L a pression artérie lle ou tension varie suivant les indiv idus , l'âge et les différents moments de la journée.

La valeur moyenne pour un adu lte est d 'enviro n 1 2/08.

Lorsqu'un ind ivi9u se repose ou dort , sa press ion artérie lle baisse.

A l'in­ verse, ell e s'é l ève lorsqu 'il fait des exercices ou qu'il traverse une période de stress.

La pression du sang qui circule à travers nos artères est relativement facile à mesurer.

D'ailleurs, le médecin détermine bien cette pression -la force du flux sanguin -, e t non pas la tension arté­ rielle, c'est-à-d ire la force de résistance des artères q ue celles-c i opposent au flux sang uin pour ne pas se déformer.

Dans le l angage couran t, on confond souvent ces deux not ions.

Pour mesurer la pression artérielle , le médecin utilise un tensio­ mè tre, encore appelé sphygmomanomètre , qui se compose d 'un brassard pneuma tique relié à un manomètre.

En gonflant le brassard , le médecin ent raîne l'ar r êt momentané de la c ircu lation en compr imant le bras.

Le pou ls n 'est alors plus per­ ceptible .

Puis il décompr i me lentement le bras­ sard tout en auscultant avec un stéthoscope sous le brassard pour entendre le retour de la circula­ tion sanguine dans les artères.

Dès les prem iers battements perçus , le médecin note la pression (pression maximale ou systolique) , puis cont inue à décompresser le brassard.

Quand les batte­ ments d isparaissent , il obtien t la pression mini­ ma le (dias t olique ).

La mesure d e la tens ion artérie lle s 'effectue toujours au même endro it car le sang ne c ircule pas avec la m ê me pression dans l'ensemble de notre corps.

Au niveau des bras, les artères sont si important es que la pres­ sion du sang présente la même valeur qu 'au moment où le sang est expulsé du cœur.

En revanche, lorsqu e le flux sanguin parcourt les artério les (pe tites artères), il a perdu une partie importante de sa force.

Le retour du sang vers le cœur par le système veineux s'effectue de ma nière p lus paisib le , car l'éco ulement du sang est ai dé par des muscles voisins.

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Unmédecin prenant ta tension artérielle d 'une jeune patiente.

Connaître cette-ci équivaut à mesurer la force avec laquelle te sang circule dans tes artères et ta pression qu'il exerce sur les parois artérielles.

La mesure de ta pression se fait grâce à un tensiomètre (ou sphygmomanomètre) appliqué au niveau du bras.

Elle s'exprime en centimètres de mercure (cm Hg).

On obtient deux nombres.

Le premier mesure ta puissance de contraction du ventricule (pression systolique).

Le second indique ta capacité des artères à amortir le flux sanguin (pression diastolique).

Pour un adulte en bonne santé , tes valeurs moyennes sont 12 cm Hg pour la pression systolique et 8 cm Hg pour ta pression diastolique , que l'on note ainsi: 12/08.

Prendre sa tension artérie lle régulièrement est un acte préventif important.

La valeur de la press ion artér ie lle varie suivan t les act ivités: par exe mp le , pendan t un exercice, les membres ont beso in d ' un appor t i mpo rtant de sang (c'es t-à­ dire d 'oxygè ne véhicu lé par le sang).

Mais.

en règle généra le , le flux sanguin doit être t oujours constant au niveau du cerveau et des reins.

Les problèmes de pression L'hypot ension, c'es t-à-dire la diminu tion anormale de la press ion du flux sang uin dans les artères , est raremen t une pat h o l ogie g r ave sau f dans le cas d 'insuff i sance réna le chron i que et de ma ladie d ' Add ison.

Les person nes hypo tendues sont en général fatiguées, surmenées ou conva lescentes.

L'hypot ension est définie par une pression systo­ lique (pression maxima le) inférieure à 10 cm de mercure (noté Hg) .

Une des manifes tations de l'hypotens ion consiste dans des vertiges suiv is par ­ fois de syncope l o rsqu'une personne passe rap i­ dement de l a pos i t io n couchée à la pos it ion debout.

Ce trouble passager est dû au mauva is aju st ement de la p r ess ion artérie lle, qui laisse que lques instants le cerveau mal irr igué.

Une fois l'équil i bre revenu, les vertiges disparaissent.

Après. »

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