Devoir de Philosophie

LE TEXTE PHILOSOPHIQUE

Publié le 02/07/2012

Extrait du document

a) Situer un texte, c'est indiquer ce qu'il est nécessaire de savoir pour pouvoir le comprendre. C'est normalement le replacer dans le contexte de son auteur et de l'oeuvre d'où il est extrait.

On veillera particulièrement à s'en tenir à une présentation logique. Comme dans toute dissertation, il faudra faire une introduction (qui introduise le texte et le problème soulevé par le texte) ; un développement organisé selon le critère qui aura été retenu ; enfin, une conclusion qui fasse ressortir la pensée personnelle sur ce que l'auteur a dit d'essentiel en ce texte.

a) C'est le texte qui constitue le « sujet « sur lequel on doit travailler. Ce texte n'est pas seulement un « thème «, sur lequel on broderait librement.

« 190.

On veillera particulièrement à s'en tenir à une présentation logique.

Comme dans toute dissertation, il faudra faire une introduction (qui introduise le texte et le problème soulevé par le texte) ; un développement organisé selon le critère qui aura été retenu ; enfin, une conclusion qui fasse ressortir la pensée personnelle sur ce que l'auteur a dit d'essentiel en ce texte.

191.

a) C'est le texte qui constitue le « sujet » sur lequel on doit travailler.

Ce texte n'est pas seulement un « thème », sur lequel on broderait librement.

b) Dans l'énoncé du devoir, la reproduction du texte peut être suivie de questions précises ; par ex.

: « Quel est l'intérêt philosophique de ce texte? (groupe 1, 1966) ou encore « la définition contenue dans ce texte vous paraît­ elle probante ? Et pouvez-vous en proposer une autre ? » (Pondichery, 1966).

Dans ce cas, il est évident qu'il faut se placer au point de vue de ces questions pour faire le com­ mentaire du texte.

c) On ne répondrait donc pas au sujet, si on se conten­ tait, à propos de ce texte, de réciter son cours, sans même faire une allusion aux affirmations précises du texte.

d) Une conséquence de la règle précédente, c'est que « libre réflexion » ne saurait signifier que 1 'on peut procéder par « association d'idées » ; et à partir d'une pen­ sée ou d'une autre de l'auteur, développer des idées qui n'ont plus qu'un rapport lointain avec cette pensée.

e) On ne répondrait pas non pius au genre « commen­ taire de texte » si l'on se contentait de prendre dans le texte proposé une phrase ou l'autre pour en faire le sujet de son devoir, sans tenir compte du reste du passage.

-65-. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles