Devoir de Philosophie

analyse guehenno

Publié le 08/04/2017

Extrait du document

guehenno
Devoirs pour le 24/5/16 Jonathan Müller cours : Textanalyse Analyse d’un extrait de « Carnets du vieil écrivain » de Jean Guéhenno L’auteur de l’extrait, Jean Guéhenno, est né le 25 mars 1890 à Fougères ; il est décédé le 22 septembre 1978 à Paris. Il a dû abandonner l’école à quatorze ans et s’est engagé comme ouvrier dans une usine de galoches. Néanmoins, il a continué à étudier seul, après ses journées de travail. Finalement, il a pu obtenir son baccalauréat et entrer dans l’enseignement supérieur. Pendant la Grande guerre il a servi comme officier d’infanterie. Après, Jean Guéhenno est devenu professeur de Khâgne dans différents lycées à Paris. Jean Guéhenno s’est consacré notamment à la critique littéraire et à l’écriture de nombreux ouvrages. Dans ses œuvres, il se montre adhérant d’un humanisme qui n’est pas au service des classes possédantes. Certains œuvres laissent apparaître un profond pacifisme de sa part. C’est à cet humanisme que ressortit l’engagement politique de Jean Guéhenno lors de la Seconde Guerre ; son engagement le conduisait à rejoindre la r&e...
guehenno

« 5.

En gros, l’auteur trouve un bon nombre d’arguments qui soutiennent ses idées.

D’abord, il soulève qu’il y a tant de gens qui ne savent pas lire et qui ne réalisent pas la valeur de la lecture.

C’est comme cela que toute son argumentation est justifiée : il y a un vrai besoin de parler des attitudes envers la lecture.

Au fil du texte, l’auteur énumère les bons effets qui a le livre sur le lecteur d’une manière pertinente.

Le vrai sens de la lecture est relevé par l’émetteur.

On utilisant les pronoms « on » et « nous » l’impression d’une validité pour l’ensemble du lectorat s’étale.

L’exemple concret dans la ligne 25 illustre bien ses arguments et met en relief la valeur des livres.

6.

L’utilisation des pronoms chez Guéhenno se fait très posément.

Le début est marqué par la 3.P.Pl.

: les autres qui ne savent pas lire sont représentés.

Puis, l’émetteur emploie la 1.P.Pl ou bien le « on » impersonel.

Avec cela, il souligne la validité de son argumentation pour le lectorat en entier.

Au moment où l’auteur donne l’exemple concret de sa vie autrefois, les pronoms de la 1.P.Sg.

sont utilisés.

Un changement remarquable se montre à la fin de l’essai.

Une utilisation du « vous » très dense devient manifeste.

En employant ce « vous », l’émetteur cherche à interpeller le lecteur en parler directement avec lui.

7.

En examinant les pronoms employés, l’adversaire apparait de manière assez évidente.

Selon l’auteur, il y a ceux qui ne savent pas lire et qui méconnaissent la vraie valeur de la lecture.

L’auteur parle de ces gens-là avec une certaine distance.

Cet adversaire est présenté comme s’il ne serait pas capable de réaliser qu’il se sert des livres de manière incorrecte et par conséquent ne peut pas profiter de bons effets des livres.

A la fin du texte, cet adversaire est interpellé de manière directe.

L’attitude dépréciative de l’auteur envers son adversaire se montre en disant que l’horizon du lecteur – donc ce qu’il peut s’imaginer - est limité par rapport à des mots dans des livres.

8.

La thèse rejetée est que lire sert à admirer et non pas à savoir.

La vrai lecture ne sert pas à se distraire et donc n’est pas un outil pour éloigner l’ennui.

9.

La thèse soutenue serait qu’un livre peut avoir une force énorme sur le lecteur.

Lire, cela possède une valeur qui va au-delà du simple contenu du livre ; la lecture permet d’évoluer, de se libérer et d’admirer ce monde littéraire merveilleux. 10.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles