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Le bonheur est-il le bien suprême ?

Publié le 09/11/2019

Extrait du document

En effet, Si tous les hommes désirent le bonheur, il est difficile de déterminer avec une certitude complète ce qui pourrait les rendre heureux. Le plus souvent, on entend par le bonheur la satisfaction absolue et que seule la possession de ce qui manque pourrait les combler. Si le bonheur était un bien, il serait le plus difficile à acquérir. Pour chacun la notion de bonheur est différente.

C. Le bonheur est-il le bien suprême ?

Le suprême serait l'ultime, le plus haut, au delà de laquelle rien ne serait placée, cela suppose une connaissance préalable de tout de ce qui serait en dessous en attendant de connaitre un autre suprême toujours sur l'échelle plus haut. 
Le suprême serait ce qu'on ne peut dépasser, le bonheur serait le summum de l'état du vivant, comment le vivant pourrait savoir expérimenter son plus haut état sans savoir s'il n'y en a un autre au dessus ? 

Le bonheur est le Bien suprême. Il est la fin inconditionnée de l'existence humaine. Telle est du moins la thèse d'Aristote et, plus généralement, de ce que l'on appelle l'eudémonisme antique. L’Eudémonisme est la morale du bonheur.

Conclusion :

« personne souhaitant y gouter. En effet, Si tous les hommes désirent le bonheur, il est difficile de déterminer avec une certitude complète ce qui pourrait les rendre heureux.

Le plus souvent, on entend par le bonheur la satisfaction absolue et que seule la possession de ce qui manque pourrait les combler.

Si le bonheur était un bien, il serait le plus difficile à acquérir. Pour chacun la notion de bonheur est différente. C.

Le bonheur est -il le bien suprême ? Le suprême serait l'ultime, le plus haut, au delà de laquelle rien ne serait placée, cela suppose une connaissance préalable de tout de ce qui serait en dessous en attendant de connaitre un autre suprême toujours sur l'échelle plus haut.

Le suprême serait ce qu'on ne peut dépasser, le bonheur serait le summum de l'état du vivant, comment le vivant pourrait savoir expérimenter son plus haut état sans savoir s'il n'y en a un autre au dessus ? Le bonheur est le Bien suprême.

Il est la fin inconditionnée de l'existence humaine.

Telle est du moins la thèse d'Aristote et, plus généralement, de ce que l'on appelle l'eudémonisme antique.

L’Eudémonisme est la morale du bonheur. Conclusion :. »

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