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Le Barbier de Séville de BEAUMARCHAIS (Résumé & Analyse)

Publié le 22/02/2012

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Le Barbier de Séville ou La Précaution inutile, fut, à l'origine, un opéra-comique refusé par le théâtre des Italiens, puis une comédie en cinq actes sifflée à la première. En février 1775, Beaumarchais, en trois jours, remania la pièce en quatre actes. Le succès fut immédiat. Dans Le Barbier de Séville, Beaumarchais fait triompher l'amour de deux jeunes gens, Rosine et Almaviva, en dépit des précautions et des obstacles posés par le vieux Bartholo.


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« le comte Le comte Almaviva est arrivé en avance et attend dans la rue, en bas des appartements de Rosine dans l'espoir del'apercevoir derrière sa jalousie.

Il connaît les heures où il peut l'entrevoir, ce qui sous-entend que cela fait unmoment qu'il l'observe.

Il s'est épris de la jeune fille bien qu'il ne lui ai jamais parlé. Scène 2 Figaro, le comte Tandis que Figaro écrit des vers pour une chanson légère où il est question de vin et de paresse, il aperçoit lecomte dans la rue.

Ce dernier exige que Figaro l'appelle Lindor car il est déguisé et ne souhaite pas être reconnu.

Ilest d'ailleurs content de discuter, car deux personnes qui jasent sont moins suspectes qu'un homme seul sepromenant. Le comte est surpris de retrouver son ancien serviteur à Séville alors qu'il l'avait recommandé pour un emploi dansles bureaux.

Figaro l'avait obtenu, le ministre, suite aux recommandations du comte le fit nommer garçon apothicairedans les haras d'Andalousie.

Figaro appréciait ce travail qui lui permettait de vendre aux hommes des médecines decheval, bien qu'apparemment cela ne fonctionna pas toujours. Cependant il dû quitter son emploi quand le ministre appris qu'il faisait des vers, des madrigaux et qu'il envoyait desénigmes aux journaux, sous prétexte que : « l'amour des lettres est incompatible avec l'esprit des affaires ». Le comte et Figaro plaisantent sur le mauvais serviteur que ce dernier faisait (paresseux, dérangé…).

Mais l'ancienserviteur est drôle et a de la répartie. De retour à Madrid, Figaro s'est essayé au théâtre sans succès (il a été sifflé), d'après lui à cause de la cabale. Il a quitté Madrid : « Voyant à Madrid que la république des lettres était celle des loups » (dit Figaro) pour s'établir àSéville en tant que barbier « à la fin convaincu que l'utile revenu du rasoir est préférable aux vains honneurs de laplume ». Finalement, alors que Figaro demande au comte pourquoi celui-ci regarde toujours d'un côté, le noble le presse pourqu'ils se cachent. Scène 3 Bartholo, Rosine La jalousie du premier étage s'ouvre, et Bartholo et Rosine se mettent à la fenêtre.. »

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