Crime d'apostasie On nomme ainsi le fait d'abjurer sa croyance et d'abandonner sa vie chrÈtienne.
Publié le 23/10/2012
Extrait du document
Crime d'apostasie
Liens utiles
- Crime d'apostasie On nomme ainsi le fait d'abjurer sa croyance et d'abandonner sa vie chrétienne.
- Commentez et discutez ces lignes de Baudelaire : «L'art est-il utile? Oui. Pourquoi? Parce qu'il est l'art. Y a-t-il un art pernicieux? Oui. C'est celui qui dérange les conditions de la vie. Le vice est séduisant, il faut le peindre séduisant; mais il traîne avec lui des maladies et des douleurs morales singulières; il faut les décrire. Etudiez toutes les plaies comme un médecin qui fait son service dans un hôpital, et l'école du bon sens, l'école exclusivement morale, ne trouvera plus
- "Le crime, c'est la chute d'un masque. La vie sociale maçonne un plâtre sur chacun, et n'admet que les mouvements qui conservent ce personnage artificiel."
- En 1865, dans la préface à son roman Une vieille maîtresse, Barbey d'Aurevilly écrit : « La moralité de l'artiste est dans la force et dans la vérité de sa peinture. En peignant la réalité, en lui infiltrant, en lui insufflant la vie, il a été assez moral : il a été vrai. Vérité ne peut jamais être péché ou crime ». En appuyant votre argumentation sur des exemples précis empruntés notamment à la littérature, vous analyserez et apprécierez ce point de vue. ?
- Vous analyserez la page suivante, en vous demandant si elle n'illustre pas la doctrine poétique de Paul Valéry : Je passais il y a quelque temps sur le Pont de Londres, et m'arrêtai pour regarder ce que j'aime : le spectacle d'une eau riche et lourde et complexe parée de nappes de nacre, troublée de nuages de fange... Je fus arrêté par les yeux; je m'accoudai contraint comme par un vice. La volupté de voir me tenait, de toute la force d'une soif, fixé à la lumière délicieusement compos