Devoir de Philosophie

Nourrir l'Humanité

Publié le 23/08/2013

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Fermina Carranza et Alejandra Paiz 11-ES Devoir Études Scientifiques : Nourrir l'Humanité Monsieur Le Journaliste, Tout d'abord, votre article a attiré mon attention, le titre m'a choqué. Par contre, je suis d'accord avec vous et je trouve que le problème d'intoxication avec les toxines botuliques est un phénomène qui doit être traité. Cependant, je ne pense pas que l'appareil de type lessiveuse soit « inadapté pour la stérilisation «, au contraire, tout dépend de son utilisation, je vous explique : La transformation de la spore en bactérie s'effectue dans un milieu de vie favorable (37ºC) et c'est pourquoi il faut un milieu de vie défavorable pour éradiquer ces spores dangereuses (plus de 120ºC). Pour ceci, une stérilisation est nécessaire (La stérilisation est une technique destinée à détruire les germes microbiens lors d'une préparation, dans ce cas alimentaire). Dans ce cas là on nécessite porter la préparation à une haute température et de nombreux outils peuvent être utilisés pour cela comme un appareil à type lessiveuse, la cocotte minute, marmites à pression, autoclaves, etc. C'est vrai que le stérilisateur de type lessiveuse atteint qu'à 100ºC, ce qui n'est pas nécessaire pour détruire les spores de Clostridium Botulinium mais que la toxine botulique et les bactéries, ce qui signifie que les possibilités que les spores reproduisent à nouveau ces bactéries, sont élevées. Mais c'est possible tout de même de l'utiliser si on suit les indications correctes (tout en respectant le temps indiqué), on parle de deux stérilisations à 24h d'intervalle. Ce délai permet aux spores de germer et la seconde stérilisation tue les bactéries résiduelles. C'est donc plus utile d'utiliser un autoclave de type « cocotte minute «. En effet, celle ci atteint une température de 121ºC, suffisant pour la destruction des spores les plus thermorésistantes et donc les possibles maladies de botulisme ou autres maladies bactériennes. Ils stérilisent donc parfaitement et n'ont pas besoin d'une deuxième stérilisation simplement grâce à l'augmentation de pression et de température qu'elles arrivent à atteindre. Finalement on peut dire que l'intoxication due à cette bactérie peut être causée par les deux instruments, mais aussi elle peut être traité dans les deux cas. Aucun des instruments n'est ''inadapté'', c'est juste la façon d'utilisation ces appareils qui va permettre de pouvoir préparer des aliments sains et libres de contaminations.

« I°) Une Régulation Monétaire Difficile Aux Vues Du Contexte Economique A) L’Accentuation De La Crise Par La Dérèglementation A partir des années 80, la dérèglementation a commencé à s’installer.

Des économistes l’ont prôné en affirmant que les innovations financières mondialisées pourraient servir à stabiliser des relations internationales et baisser la fréquence et la gravité des crises.

Cette dérèglementation est préconisée par le libéralisme qui régit le monde, et elle consiste en la suppression des règles qui limitaient la liberté des transactions financières, telles que l'encadrement du crédit ou les taux d'intérêt bonifiés et taux administrés qui favorisaient telle ou telle activité.

Appliquée dans les pays industrialisés, la déréglementation financière favorise la libéralisation et la circulation internationale du capital. Le libéralisme est, quant à lui, un courant de pensée de philosophie politique, né d'une opposition à l'absolutisme et au droit divin dans l’Europe des Lumières.

Il prône une société fondée sur la liberté d'expression des individus dans le respect du droit du pluralisme et du libre échange des idées, et repose sur l’idée que chaque être humain possède des droits fondamentaux qu'aucun pouvoir n'a le droit de violer. Ainsi, en l’appliquant à l’économie, cela peut se résumer à un laisser-faire sur les marchés. La dérèglementation qui en ressort a été mise en avant par les dirigeants, principalement américains.

Elle consiste en un relâchement de la discipline du contrat, une prise de risque importante, des effets de levier gigantesques, une efficience informationnelle des marchés, une illégitimité d’une meilleure information des autorités publiques par rapport à celle des agents privés, selon Alan Greenspan le président de la Réserve fédérale américaine de 1987 à 2006.

Elle amène, de plus, à une prédominance de la finance sur la banque traditionnelle, à une complexité croissante de la séparation entre financement et prise de risque.

C’est un modèle de croissance tirée par la finance et le crédit à la consommation et au logement.

Pour les tenants de ce libéralisme poussé, la faible croissance de l’Europe et du Japon serait due à leur retard dans la financiarisation.

En pratique, ce laisser-faire pour la finance, s’est traduit par un développement de la titrisation, une forte mobilité des capitaux, une multiplication des nouveaux produits financiers, et une explosion des produits dérivés. Cependant, ce caractère incertain et ces comportements mimétiques, provoquent un écart croissant entre le prix du marché et l’évaluation de la valeur des actifs, amenant inévitablement à une crise spéculative. Pour illustrer la contribution de la dérèglementation vis-à-vis des crises, nous pouvons prendre l’exemple. »

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