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Qu'est-ce que la philosophie ? Analyse du texte D'André Comte-Sponville

Publié le 29/01/2013

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Analyse du texte D'André Comte-Sponville Il y a plusieurs façons différentes d'interpréter la philosophie. Dans le texte d'André Comte-Sponville, l'auteur nous laisse s savoir, « qu'est-ce que la philosophie? «, de son point de vue. Pour lui, « la philosophie est une pratique discursive qui a la vie pour objet, la raison pour moyen et le bonheur pour but. «. L'auteur a écrit ce texte pour nous expliquer sa définition de la philosophie. Il va essayer d'expliquer sa vision en accentuant sur trois points : de sa définition de la philosophie, du bonheur et de la sagesse, ainsi que de la vérité. Pour commencer, l'auteur nous parle de sa définition de la philosophie pour nous faire comprendre ce que signifie la philosophie pour lui. Il mentionne aimer la philosophie parce qu'en plus d'être un système ou une contemplation, elle est aussi une « activité «, il veut dire par là, que la philosophie n'est pas seulement une théorie, un savoir ou une pensée abstraite mais que l'on peut aussi la mettre en application ou la partager entre personne. Par exemple, la fidélité, dans une relation, le couple sait ce qu'est la fidélité mais doit ensuite l'appliq...

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« faite par l’ignorance, l’illusion du bonheur tandis que l’autre est un bonheur mérité, un bonheur que l’on sait permanent.

L’auteur nous a appris ce qu’est le but de la philosophie, la sagesse en se reconnaissant du bonheur.

Mais il ne s’arrêtera pas là, puisque le bonheur est peut-être le but de la philosophie mais elle n’est pas sa norme, c’est la vérité. La philosophie exige une vérité, elle ne peut fonctionner sans elle.

L’auteur nous dit que le but d’une activité est ce à quoi elle tend et sa norme est ce à quoi elle se soumet.

La philosophie se soumet à la vérité.

Ce qu’il veut dire est que le bonheur du sage ne peut pas s’acquérir sans vérité, elle est sa norme puisque la philosophie ce base sur la vérité.

La philosophie vise l’universalité, où tout le monde s’entend, que même si elle pose des problèmes de l’humanité, elle cherche des réponses valables pour tous.

La vérité juge de l’authencité du bonheur, l’auteur nous parle de vraies tristesses et de fausses joies, par exemple, si nous reprenons l’idée du couple, imaginons que l’homme n’aime pas la femme mais fait à croire qu’il l’aime, la femme a une idée qui parait vraie, bien sûr elle est heureuse pour le moment, mais c’est comme si on s’attendait a quelque chose qui n’a jamais exister, qui n’est pas là, la femme reste dans l’inconnu du savoir, et c’est ce qui rend le plus malheureux.

L’auteur dit aussi : « (…) n’est vraiment philosophe que celui qui aime le bonheur, (…), mais qui aime plus encore la vérité(…).

» et dit ensuite qu’il y a des philosophes et des professionnels de la philosophie.

Ce qu’il veut dire est que le philosophe cherche la vérité et essai de trouver sagesse tandis que les professionnels de la philosophie est celui qui pense de façon critique la connaissance et la vie.

Cette norme, la vérité, définit en propre la philosophie puisqu’elle est la base de celle-ci, on ne peut continuer avec un mensonge. Somme toute, pour l’auteur, la philosophie est une activité qui pour but le bonheur, mais pas n’importe quel bonheur, un vrai.

Qu’il ne faut pas mentir : « (…) se mentir sur la vie, sur nous-mêmes, sur le bonheur.

» et que toute définition de la philosophie engage déjà une philosophie.. »

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