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La politique dans Les Lettres Persanes

Publié le 22/02/2012

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« Il n'est pas même de l'honneur et de la dignité du prince, de s'allier à un tyran. » (Lettre 95) « [...] il n'y a presque jamais de prince si méchant, que son ministre ne le soit encore davantage. » (Lettre 127) « J'ai vu avec étonnement la faiblesse de l'empire des Osmanlins. Ce corps malade ne se soutient pas par un régime doux et tempéré, mais par des remèdes violents, qui l'épuisent et le minent sans cesse. » (Lettre 19)

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