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m Question 1 o Du po�te, on dit que c'est un « rêveur ». Paul Verlaine, Arthur Rimbaud et Raymond Queneau n'échappent pas à cette source d'inspiration poétique que sont le rêve ou la rêverie. Il nous proposent alors, dans « Rêve parisien », « Cauchemar » et « En cas d'arrêt même prolongé », la description d'un de leurs rêves, mais dans des tonalités tr�s différentes pour chacun. ©HATIER o Les titres : « Rêve parisien » et « Cauchemar » donnent déjà un premier indice, mais c'est surtout le corps même des po�mes qui renvoie à un monde rêvé. o Verlaine, d�s le premier vers, indique explicitement : « J'ai vu passer dans mon rêve... ». Dans les po�mes eux-mêmes, le vocabulaire - au début ou à la fin du texte - renvoie à l'idée de sommeil, donc à l'irréel : « Le sommeil est plein de miracles ! » s'étonne Baudelaire, qui, à la fin de son po�me, se présente «...