Meursault et Marie

« .

En revanche, ces trois textes présentent aussi divers et variées différences et notamment par le contexte car il y a trois différents types de décès : Ruy Blas est un drame romantique car la victime Ruy Blas, tente de se suicider avec un poison.

Ensuite, Caligula est un drame philosophique.

Caligula est assassiné, dû un complot formé par « les chefs de la noblesse et du sénat » comme le montre le résumé.

Et enfin, Le roi se meurt , qui est un drame psychologique.

Le Roi meurt mais ici, de façon naturelle, par vieillesse sans doute.

Nous sommes au dénouement, c'est-à-dire à la fin de pièce de théatre dans Ruy Blas , et dans Caligula , et non dans l a pièce de Ionesco.

D'ailleurs, cette pièce de Ionesco montre l'impuissance des humains face à la mort qui est si puissante.

En outre, il y a une morale à la fin de ce texte assez explicite : « Tout le monde est le premier à mourir », ce qui veut dire que tout le monde succombe à la mort.

De plus, on peut voir des stichomythies qui montrent l'affolement des personnages.

Continuons avec la pièce d'Albert Camus, qui a un thème antique, ce qui est différent des deux autres œuvres.

Caligula fait une petite tirade que l'on peut considérer comme un monologue car il est tout seul au début de la scène : « Tout à l'air […] douleur humaine ».

De même qu'il emploie aussi des questions rhétoriques pour exprimer ses sentiments.

Les didascalies indiquent la présence de « bruits d'armes » qui renforcent le suspens et le côté dramatique de la scène.

Ce qui se diffère des deux autres pièces.

Ici, le droit à la vie n'a pas été respecté.

Enfin, dans la pièce d'Hugo, on peut voir que Ruy Blas éprouve d'extrêmes sentiments de désespoir, et donc d'un fort chagrin d'amour.

Ce qui lui a conduit à vouloir mourir.

La reine en est choquée car il y a beaucoup de phrases exclamatives dans ses répliques.

Ainsi, le respect des règles classiques et notamment la bienséance qui n'est en aucun cas respectée, seulement dans Caligula puisqu'il y a de la violence et dans Ruy Blas car il y a eu un suicide donc un mort sur scène.

Ainsi, ces trois textes dénoncent le pouvoir de la mort à travers différentes situations, qui a été engendré par des comportements destructeurs, inhumains et fatals c'est-à-dire le destin de notre vie, la mort.

.Les auteurs des textes du corpus ont choisi le théâtre pour dénoncer cette expression : « Vivre pour mourir ».

Ils montrent aussi que nous sommes imbattables face à la mort et que la détresse, la souffrance des humains et les actes non voulus (en fin de compte) peuvent conduire au suicide, ou à l'assassinat.. »