nuit rhénane

« - « tordre »/ « danser une ronde » → À la violence sensuelle du mouvement des femmes répond un terme aux connotations folkloriques et enfantines = conjuration de la puissance maléfique en lui opposant l’univers rassurant du réel b) Mouvement vertical « debout » + discours direct (strophe 2) → Sursaut du poète pour échapper à l’emprise de l’irrationnel c) Verbes à l’impératif : « chantez », « mettez » + valeur injonctive du subjonctif « que je n’entende plus » → exorciser les forces de mort par un appel à la vie (chant et danse) 3.

Le surnaturel : Victoire des forces maléfiques a) Référence à la symbolique du miroir : « où les vignes se mirent » (v.9), « tout l’or des nuits tombe en tremblant s’y refléter » (v.10) → l’univers bascule dans l’irréel : ce n’est pas le paysage réel du Rhin et des vignobles qui est évoqué mais son reflet = passage de la réalité à son reflet. »