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Croyance à un sujet

Publié le 03/05/2015

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Croyance à son sujet. On croyait que c'était un billet mais on s'aperçoit que c'est du papier ou une imitation. Si personne n'y croit, la fausse monnaie n'est plus de la monnaie, elle n'a donc rien de faux : ce qui est faux dans la fausse monnaie c'est notre jugement que ce morceau de papier est un billet de banque. La fausse monnaie n'est donc qu'un contre exemple apparent à la thèse suivante : la vérité et l'erreur sont toujours dans ce qu'on dit et ce qu'on pense, jamais dans les choses elles-mêmes. Définition vérité : la vérité est l'accord entre la pensée et le réel. Une idée tel qu'elle est, est une idée fausse qui décrit le réel tel qu'il ne l'est pas. 2- Erreurs, mensonges et illusions. L'erreur c'est simplement, dire ou penser quelque chose de faux. Le mensonge est une erreur volontaire : on trompe autrui, on lui dit une chose fausse dans le but de le tromper ou de le manipuler. L'illusion est une erreur qui persiste même quand on connaît sa source. D'où l'illusion, connaître la vérité ne dissipe pas complètement l'erreur : on continu à avoir une impression ou une perception fausse même si on sait qu'elle est fausse. Les illusions d'optiques sont un cas d'illusion même quand on sait que notre vue nous trompe, on continu à avoir une perception fausse par exemple le trompe l'oeil : peindre une image sur un mur en deux dimensions qui nous donne l'impression de la troisième dimension ou encor l'illusion de Müller-lyer : Même quand on le sait on continu à les voir comme si elles étaient de taille différentes. Il arrive que les illusions soit liées au désire. On dit qu'on se fait des illusions et dans ce cas on continu à croire quelque chose de faux même quand on a tous les éléments pour savoir qu'on se trompe. Un exemple célèbre d'illusion lié au désire est la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb. Quand il découvre l'Amérique, Christophe Colomb est persuadé d'avoir trouvé non pas un nouveau continent mais la route occidentale vers les Indes. Il en restera persuadé jusqu'à sa mort alors que les autres navigateurs et les savants de l'époque avaient compris que Colomb n'était pas arrivé en Inde mais sur un continent inconnu. En faite, Colomb aurait beaucoup préférer trouver la route occidentale vers les Indes car il y avait beaucoup de commerce entre l'Inde et l'Europe à cette époque. Une nouvelle route commerciale aurait fait sa fortune c'est donc bien sont désire qui a conduit Colomb à rester dans l'illusion jusqu'à sa mort. 3- La définition de la vérité. La vérité est l'accord entre la pensée et les choses ou le réel. Remarque : Il faut faire attention car c'est la pensée qui s'accorde sur les choses et non l'inverse. La pensée est vraie parce qu'elle est fidèle au réel et non pas parce que le réel est fidèle à la pensée. Le réel est indépendant de notre pensée. Il y a une erreur voir une illusion philosophique courante : croire que quand ma pensée est vraie alors le réel s'y conforme. Cette erreur est l'idéalisme : croire que le réel doit s'adapter à mes idées et non pas l'inverse. Conséquences : La recherche de la vérité est désintéressée Un comportement est intéressé quand on prend un avantage à quelque chose mais la recherche de la vérité ne nous procure ...

« En faite, Colomb aurait beaucoup préférer trouver la route occidentale vers les Indes car il y avait beaucoup   de commerce entre l'Inde et l'Europe  à cette  époque. Une nouvelle route commerciale aurait fait sa fortune   c'est donc bien sont d ésire qui a conduit Colomb  à rester dans l'illusion jusqu' à sa mort. 3- La définition de la vérité. La v érit é est l'accord entre la pens ée et les choses ou le r éel. Remarque : Il faut faire attention car c'est la pens ée qui s'accorde sur les choses et non l'inverse. La pens ée est vraie   parce qu'elle est fid èle au r éel et non pas parce que le r éel est fid èle à la pens ée. Le r éel est ind épendant de   notre pens ée. Il y a une erreur voir une illusion philosophique courante : croire que quand ma pens ée est vraie alors le r éel   s'y conforme. Cette erreur est l'id éalisme : croire que le r éel doit s'adapter  à mes id ées et non pas l'inverse. Conséquences : La recherche de la v érit é est d ésint éress ée Un comportement est int éress é quand on prend un avantage  à quelque chose mais la recherche de la v érit é ne   nous procure pas forcement un avantage. D écouvrir la v érit é peut  être une d éception. Mais les gens qui   cherchent la v érit é  (les savants)   ne la cherche pas pour en tirer avantages. Ils cherchent  à comprendre par   exemple, comment est compos é la mati ère  (physiciens)  seulement pour augmenter leurs connaissances. En effet par d éfinition la v érit é c'est accepter le r éel tel qu'il est et non pas tel qu'on voudrait qu'il soit. Pourquoi chercher la v érit é si cette recherche est d ésint éress ée ? D'o ù nous vient le d ésir de savoir si le savoir   ne nous apporte rien d'utile ? D'un c ôté l'Homme est naturellement curieux, nous voulons tous savoir, comment fonctionne le monde   autour de nous mais d'un autre c ôté, nos connaissances nous permettent de mieux agir sur le monde. Elle   n'est donc pas compl ètement  d ésint éress ée. Par exemple, l'accroissement des connaissances scientifiques permet de mettre au point des   inventions nouvelles. D écouverte de l'atome :  ª  bombes nucl éaires                                         ª  centrales nucl éaires. »

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