Discussion sur l'ame chez Aristote

« Pour Aristote, l’âme c’est l’essence de tous les êtres vivants ; chacun des eux a son propre âme et elle représente la forme par laquelle chacun peut être considéré comme vivant.

Aristote associe la relation entre l’âme et le corps à la relation entre la forme et la matière : pour lui l’âme est unie au corps comme la forme est unie à la matière.

D’abord, la première définition donne au terme, par Aristote, dans son traité est > ( De l’âme , II, 1, 412 a 27-28).

Pour comprendre cette définition il faut parvenir à comprendre en quoi la possession d’une âme est le principe de la distinction entre les corps vivants et non-vivants.

Concernant cette explication de l’âme d’après Aristote il affirme que >.

Cette affirmation nous rendre compte que en effet, pour lui, l’âme ne signifie pas l’exercice de fonctions vitales, mais qu’elle est la capacité d’exercer ces fonctions.

Ensuite, il relie la notion de l’âme à celle de quiddité ; autrement dit, la substance de chaque chose.

Ici, substance prends le sens de cause inhérente de l’existence d’êtres d’une nature telle qu’ils ne sont pas affirmés d’un sujet, par exemple l’âme pour un animal.

Par ailleurs, Aristote fait distinction entre les trois types d’âmes : l’âme végétative, l’âme sensitive et l’âme intellective. Finalement, dans le cas de l’âme dianoétique, (comme entendu par Aristote) les phantasmes sont à l’âme dianoétique ce que sont les impressions sensibles à la. »